Proper Mérimée, français. // 1994 – 95 pages – Ed. Le Livre de poche // Catégorie – Classique.
– Si le modèle a jamais existé, dis-je à M. de Peyrehorade, que je plains ses amants ! Elle a dû se complaire à les faire mourir de désespoir. Il y a dans son expression quelque chose de féroce, et pourtant je n’ai jamais vu rien de si beau… » l’avis.
Contrairement à beaucoup de personnes, La Vénus d’Ille, n’a jamais été une lecture scolaire. Je l’ai lu parce que je le voulais. Ce petit livre se trouvait dans la bibliothèque de ma petite soeur. Je l’ai piqué quelques minutes pour le lire au soleil.
L’histoire est courte, mais très bien romancée. On ne pourra pas le nier, l’écriture est vraiment excellente. Ensuite, j’avoue que l’histoire, disons surtout la chute de cette dernière m’a plu. Je ne m’attendais pas forcément à trouver une note de fantastique en commençant cette lecture, même si au fur et à mesure des questions se posaient dans mon esprit.
Globalement, j’ai apprécié l’histoire. Aucun des personnages ne m’a semblé être de trop. Petite ombre au tableau : on entre assez tardivement dans le vif du sujet, pour une histoire courte, s’en est presque frustrant !
Dans mon édition, La Vénus d’Ille est suivie de La partie de Trictrac. Je n’ai pas aimé cette nouvelle. Je n’ai pas accroché dès le début. Il n’y a pas de raison de style ou autre, c’est ainsi, pour une raison difficilement explicable je n’ai pas été transportée.
entre les pages.se procurer le(s) livre(s)« le synopsis étant déjà un grand extrait je n’en mettrais pas »