Le mardi, je me dis que

quand il n'y a plus de mot pour résumer le plaisir immense de l'écoute, eh bien je me tais !

Je voulais illustrer une future chronique littéraire (Treize d'Aurore Bègue) par cette chanson, mais celle-ci a tout remporté : l'émotion, la subtilité, la finesse de l'interprétation. Bref, elle a remporté le droit d'avoir son article à elle ! Ibrahim, vous allez réussir à me faire le jazz !