Genre : Shonen
Nationalité : Japonais
Date de publication : 2015
Traduction : Géraldine Oudin
Adaptation graphique: Hinoko
Éditeur : Ki-oon
Note :
Résumé :
Après leur dernière rencontre, Shoya parvient à retrouver Shoko. À sa grande surprise, la jeune fille accepte de lui parler et ne semble pas lui en vouloir ! Les deux adolescents commencent à se rapprocher peu à peu, tandis que dans le même temps Shoya se lie d’amitié avec un garçon de sa classe, Tomohiro.
Déterminé à changer pour rendre à Shoko le bonheur qu’il lui a volé, le lycéen décide d’affronter son passé en reprenant contact avec d’anciennes camarades de classe…
Mon avis :
Plus j’avance dans cette série et plus je suis prise dans l’histoire, au point que je n’ai qu’une envie, lire la suite, et vite ! L’histoire évolue, tout en douceur et tout en continuer à faire réfléchir sur le handicap et les relations humaines, que se soit l’amitié ou l’amour. Je savais bien que Shoya n’était pas un si mauvais bougre mais pour d’autres, le chemin est encore long pour ouvrir les yeux sur le passé. En tout cas, je dois dire que le duo Tomohiro et Yuzuru me plaît terriblement, il apporte la petite note d’humour et de fantaisie juste comme il faut, ni trop ni pas assez. En fait, je m’attache de plus en plus à l’ensemble des personnages et à chaque fin de tome, je suis à la fois ravie et triste de me dire que le tome est déjà fini.
Je crois bien que mon instinct ne m’a pas trompé, cette série est plus que prometteuse, elle fera surement partie de mes favorites, à n’en point douter. Je suis pressée de voir comment Naoka va évoluer et s’intégrer parmi le petit groupe et je suis curieuse de voir qui sera le ou la prochaine sur la liste, car à n’en point douter, il y en aura d’autres ! Yoshitoki Oima rejoint par la même occasion la liste de mes mangakas préférés, après Natsuki Takaya. J’aime cette petite touche personnelle, le fait que se soit simple mais agréable à l’oeil. Car, il faut le savoir, je suis plutôt difficile quand il s’agit de dessin. C’est j’aime ou j’aime pas. Mais ça, j’ai du déjà vous le dire. Mais là, pour le coup, c’est plus le synopsis qui m’a intrigué et plu et ensuite, en voyant les dessins, je me suis dit « pourquoi pas ». Comme quoi, ne pas seulement juger un manga sur le coup de crayon du mangaka, on peut passer à côté de belles pépites !
Au risque de me répéter, je vous laisse maintenant pour aller lire la suite et je vous souhaite bonne lecture à tous et à toutes !
Bises à vous mes petits bouquineurs !
Tous droits réservésL’auteur :
Yoshitoki Oima est une jeune mangaka. N’appréciant pas trop l’école, elle préfère dessiner.
En 2008, elle participe à un concours de jeunes auteurs organisé par Kodansha, elle n’a alors que 19 ans quand elle remporte le 1er prix avec « A Silent Voice », un manga aux thématiques singulières et difficiles : le handicap et l’ijime (brimades dans le milieu scolaire).
Si elle n’a pas de handicap particulier, l’auteur a été sensibilisée très tôt à ces sujets grâce à sa mère, interprète en langue des signes qui l’aide dans la manière de représenter les échanges muets des personnages de « A Silent Voice ».