Une ville en mai est le nouveau roman de Patrick Raynal sorti en mai 2016 aux éditions L'Archipel.
Présentation de l'éditeur :Nice, mai 1968. Frédéric Corniglion revient après dix ans d’Afrique. Chez les ouvriers et les étudiants, la révolte n’épargne pas Nice et ses facs.
Dominique, son ex-femme, lui apprend que Sophie, leur fille, ne donne plus de nouvelles depuis des mois. Elle fréquentait un étudiant, un certain Thomas. Inquiet, Frédéric contacte le commissaire Pancrazi, ancien RG. Le policier lui révèle les activités militantes de Sophie (distribution de tracts…), son appartenance à l’Union de la Jeunesse Marxiste Communiste et Léniniste.
En même temps, le cadavre d’un prof de la fac de lettres, Blanc-Dumont, est découvert sur une plage. Frédéric poursuit ses recherches. Il va voir les membres de l’Union, et rend visite à Corinne Duval, la colocataire de sa fille. Là, la jeune femme lui dit avoir reçu un homme à l’air méchant, et insistant pour avoir des nouvelles de Sophie…
Avec son équipier Casanova, Pancrazi investit la fac. Quelques étudiants en colère, un directeur rétif, et une info : Blanc-Dumont fréquentait des cercles néo-nazis…
L'ancien directeur de la Série Noire signe un nouveau polar et nous ramène quelques années en arrière, il y a près de 50 ans, à Nice où le soleil et la révolte des étudiants ne cessent de taper. On y suit Frédéric qu'on apprécie assez rapidement malgré de nombreux défauts ... dont celui d'avoir abandonné sa famille dix ans auparavant.
Il est revenu pour chercher sa fille qui a disparu. Et il n'est pas au bout de ses surprises car il va découvrir que sa fille est communiste et engagée activement dans sa cause, ce qui lui cause quelques soucis au vu de sa façon de penser, et qu'en plus elle semble être une jeune femme très libre ... dur à réaliser pour un parent.
Présentation de l'éditeur :Nice, mai 1968. Frédéric Corniglion revient après dix ans d’Afrique. Chez les ouvriers et les étudiants, la révolte n’épargne pas Nice et ses facs.
Dominique, son ex-femme, lui apprend que Sophie, leur fille, ne donne plus de nouvelles depuis des mois. Elle fréquentait un étudiant, un certain Thomas. Inquiet, Frédéric contacte le commissaire Pancrazi, ancien RG. Le policier lui révèle les activités militantes de Sophie (distribution de tracts…), son appartenance à l’Union de la Jeunesse Marxiste Communiste et Léniniste.
En même temps, le cadavre d’un prof de la fac de lettres, Blanc-Dumont, est découvert sur une plage. Frédéric poursuit ses recherches. Il va voir les membres de l’Union, et rend visite à Corinne Duval, la colocataire de sa fille. Là, la jeune femme lui dit avoir reçu un homme à l’air méchant, et insistant pour avoir des nouvelles de Sophie…
Avec son équipier Casanova, Pancrazi investit la fac. Quelques étudiants en colère, un directeur rétif, et une info : Blanc-Dumont fréquentait des cercles néo-nazis…
L'ancien directeur de la Série Noire signe un nouveau polar et nous ramène quelques années en arrière, il y a près de 50 ans, à Nice où le soleil et la révolte des étudiants ne cessent de taper. On y suit Frédéric qu'on apprécie assez rapidement malgré de nombreux défauts ... dont celui d'avoir abandonné sa famille dix ans auparavant.
Il est revenu pour chercher sa fille qui a disparu. Et il n'est pas au bout de ses surprises car il va découvrir que sa fille est communiste et engagée activement dans sa cause, ce qui lui cause quelques soucis au vu de sa façon de penser, et qu'en plus elle semble être une jeune femme très libre ... dur à réaliser pour un parent.
Les coups de poing et coups de gueule ne cessent de pleuvoir dans ce roman qui se déroule à cent à l'heure. Frédéric est déterminé à retrouver sa fille. Mais pour cela il va devoir creuser pour que certains secrets réussissent à sortir et pour qu'il puisse remonter le fil des événements.
Dans un décor de mai 68 où la tension est électrique entre flics et étudiants, Frédéric va redécouvrir un pays qu'il avait abandonné une dizaine d'années plus tôt. Le type est à la fois détestable dans ses discours sur sa vision du monde mais il est également adorable dans l'attachement qu'il a envers sa fille qu'il ne connaît quasiment pas.
Le polar est bien mené, on accroche bien et on se laisse entraîner dans cette histoire qui prend des proportions de plus en plus folles au fil des pages ! Patrick Raynal a une culture de roman noir dont on retrouve les principaux codes dans Une ville en mai.