Titre : Une larme m'a sauvée
Auteur : Angèle Lieby
Pages : 187 pages
Maison d'édition : Pocket
Résumé
Ca a commencé, un jour de juillet, par des picotements au bout des doigts, un violent mal de tête, la perte de réflexes... Rapidement, l'état d'Angèle s'aggrave et les médecins décident de la plonger dans un coma artificiel. Le temps passe et Angèle reste dans le noir. Un noir profond où, consciente, elle crie sa douleur et sa peur mais où personne ne peut l'entendre. Alors elle pleure à l'intérieur. Et soudain, une larme coule le long de sa joue. Une larme qui la ramène vers le monde des vivants...
Mon avis
Nous sommes le 20 juin, et aujourd'hui c'est l'été ! Pourtant le ciel est gris, pourtant il pleut, pourtant il fait froid. Mode déprime activé. Pour bien rester dans ce thème, j'ai décidé de me plonger dans un bouquin qui décorait ma bibliothèque depuis un moment. Ce témoignage retrace fidèlement le vécu d'Angèle Lieby et est, selon moi, à la fois magnifique et à la fois troublant. Magnifique en tant que c'est un récit poignant empli d'optimisme, une véritable ode à la vie. Poignant car je trouve ce témoignage effrayant. Certains passages du livre m'ont vraiment mis mal à l'aise car j'avais l'impression de souffrir avec l'auteure ; on touchait dans ces moments vraiment à la personne en elle-même, à la dignité humaine. Comment le corps médical peut-il agir ainsi sur un corps qui lui paraît inerte alors qu'au fond, cette personne entend et ressent tout. C'est effarant, effrayant. Comme le dit si bien l'auteure dans son récit-témoignage :
Ce livre est selon moi à mettre entre toutes les mains. Ce livre est selon moi une histoire, un récit qui chamboule, qui perturbe, qui dérange aussi parfois bien qu'il puisse rassurer.
Auteur : Angèle Lieby
Pages : 187 pages
Maison d'édition : Pocket
Résumé
Ca a commencé, un jour de juillet, par des picotements au bout des doigts, un violent mal de tête, la perte de réflexes... Rapidement, l'état d'Angèle s'aggrave et les médecins décident de la plonger dans un coma artificiel. Le temps passe et Angèle reste dans le noir. Un noir profond où, consciente, elle crie sa douleur et sa peur mais où personne ne peut l'entendre. Alors elle pleure à l'intérieur. Et soudain, une larme coule le long de sa joue. Une larme qui la ramène vers le monde des vivants...
Mon avis
Nous sommes le 20 juin, et aujourd'hui c'est l'été ! Pourtant le ciel est gris, pourtant il pleut, pourtant il fait froid. Mode déprime activé. Pour bien rester dans ce thème, j'ai décidé de me plonger dans un bouquin qui décorait ma bibliothèque depuis un moment. Ce témoignage retrace fidèlement le vécu d'Angèle Lieby et est, selon moi, à la fois magnifique et à la fois troublant. Magnifique en tant que c'est un récit poignant empli d'optimisme, une véritable ode à la vie. Poignant car je trouve ce témoignage effrayant. Certains passages du livre m'ont vraiment mis mal à l'aise car j'avais l'impression de souffrir avec l'auteure ; on touchait dans ces moments vraiment à la personne en elle-même, à la dignité humaine. Comment le corps médical peut-il agir ainsi sur un corps qui lui paraît inerte alors qu'au fond, cette personne entend et ressent tout. C'est effarant, effrayant. Comme le dit si bien l'auteure dans son récit-témoignage :
"Les technologies les plus sophistiquées ne suffiront pas à tracer la voie de la guérison. Soigner ne se limitera jamais à un acte technique : c'est aussi savoir écouter, entendre au delà des silences."
Ce livre est selon moi à mettre entre toutes les mains. Ce livre est selon moi une histoire, un récit qui chamboule, qui perturbe, qui dérange aussi parfois bien qu'il puisse rassurer.