Début de diffusion : 01/04/2016

10 épisodes diffusés au moment de la rédaction de la chronique

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Résumé

Plusieurs équipes internationales de l’U-NASA ont été envoyées sur Mars qui a été précédemment terraformée, mais qui est désormais envahie par des cafards. Ces derniers ont muté sous une forme humanoïde et dont un virus a été transmis à la Terre qui est une menace d’extinction. Une fois sur place un combat sanguinaire a eu lieu, menant à la destruction de certaines équipes. Malgré cela, d’autres enjeux se jouent en arrière-plan, sur fond de compétitions / intrigues internationales.  L’ordre de mission général est de prélever des cafards humanoïdes en vue de créer un vaccin. Pour autant, les équipes envoyées sur Mars ne vont pas tarder à comprendre qu’elles ne partagent pas toutes le même objectif.

Notre avis

Une suite à la première saison, déjà disponible sur ADN et Crunchyroll. D’un point de vue character design et patte graphique, il n’y a pas de changement notable entre la première et deuxième saison. Pour autant, avec cette nouvelle saison , nous avons un regain d’intérêt grâce au background plus riche sur les enjeux politiques entre les différentes nations, en particulier autour des personnages uniques d’Akari et Michelle. Même s’il y a toujours beaucoup de combats et dont la plupart sont souvent spectaculaires, cette deuxième saison creuse un peu plus sur le background des personnages humains mis en scène en développant en particulier leur préoccupation et comportement avéré avant expédition puis une fois sur Mars. On y devine donc que la mutation fulgurante des cafards a été stimulée, et que l’on se retrouve avec des créatures finalement incontrôlables. On doute toutefois que la réponse soit apportée à ce sujet avant la fin de la saison. Au final, une série qui plaira aux amateurs du genre et dont la seconde saison dépasse en intérêt la première (suffisamment rare pour être souligné).

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En deux mots

Nouvelle saison de la série à succès Terraformars, qui se paie le luxe d’être mieux réussie que la première.

Julien Jaccone