Ce livre, malheureusement plus proche du roman policier que de la comédie sociale ou de l’étude de mœurs, cherche moins à analyser les tenants qu’à en expliquer les aboutissants. L’intrigue est efficace, certes, mais elle n’a pas su complètement me captiver. Car, là où j’aurais voulu qu’on s’interroge sur le rapport de classes entre les personnages ou sur la société londonienne de l’époque, on cherche surtout à savoir à quand remonte précisément la mort et, oui, si elle est vraiment aussi naturelle qu’elle en a l’air.
Cela dit, c’est plutôt un bon roman, plein de remarques qui pourraient passer pour misogynes s’il n’était écrit par une femme. Un bon roman, oui, mais pas ce que j’avais envie de lire à ce moment-là. Ça arrive.