C’est lundi, que lisez-vous?

Par Lepoussin @delphineOSK

Hello les poussins ! Votre week-end fut agréable? Pour ma part j’ai chevauché un taureau ( mécanique) et fais du saut à l’élastique horizontal ( dans un château gonflable). Je suis également allé au cinéma voir Colonia, le film dont je vous parlais avec Emma Watson en actrice principale, l’article ici. Bref voici le bilan livresque.

Qu’avez-vous lu la semaine passée ? 

Deux petites lectures pour la semaine passée, elles font toutes deux parties de l’aventure des 68 premières fois, je vous en parle ici.

Quatrième de couverture : 

« Je vis la pile d’ouvrages sur mon bureau, tous les romans d’Émilien Petit réunis là. Je m’adressai à l’auteur, l’appelant par son prénom, comme si c’était un vieil ami : ’Émilien, cher Émilien, Neige noire, qu’en as-tu fait ?’. »

À la maison de la presse de Crux-la-Ville, Constantin Caillaud découvre par hasard Neige noire, un roman d’Émilien Petit dont il croit pourtant avoir tout lu. Excellente trouvaille, elle va lui donner l’occasion rêvée de recontacter Hélène, sa maîtresse évanescente qui lui a fait aimer cet auteur. Mais au moment de la revoir pour lui confier le livre-sésame, il ne parvient plus à le retrouver. Il cherche alors sur Internet : aucune trace. S’adresse à l’éditeur : le titre n’a jamais figuré au catalogue. Qu’à cela ne tienne, Constantin écrit à Émilien Petit et à ses amis écrivains : tous nient l’existence de Neige noire. 

Quatrième de couverture : 

Alger, 1956. Fernand Iveton a trente ans quand il pose une bombe dans son usine. Ouvrier indépendantiste, il a choisi un local à l’écart des ateliers pour cet acte symbolique : il s’agit de marquer les esprits, pas les corps. Il est arrêté avant que l’engin n’explose, n’a tué ni blessé personne, n’est coupable que d’une intention de sabotage, le voilà pourtant condamné à la peine capitale.
Si le roman relate l’interrogatoire, la détention, le procès d’Iveton, il évoque également l’enfance de Fernand dans son pays, l’Algérie, et s’attarde sur sa rencontre avec celle qu’il épousa. Car avant d’être le héros ou le terroriste que l’opinion publique verra en lui, Fernand fut simplement un homme, un idéaliste qui aima sa terre, sa femme, ses amis, la vie – et la liberté, qu’il espéra pour tous les frères humains.

Que lisez-vous en ce moment ?

Quatrième de couverture : 

Cet été-là, Cabrel chantait Hors saison et tout le monde chantait Cabrel.
Cet été-là, sur la plage du Touquet, les corps se dévoilaient, les cœurs s’emballaient.
Cet été-là, sur les dunes immenses, se jouaient les destinées amoureuses de quatre couples, à l’âge des quatre saisons d’une vie.
L’été est-il toujours fatal aux histoires d’amour ?

Bouleversant et solaire, ce nouveau roman de Grégoire Delacourt retrace la trajectoire de nos blessures et nos élans les plus fous.

Que comptez-vous lire cette semaine ?

Bonne question, je ne sais même pas si j’aurais le temps de lire avant mon départ en vacances vendredi.

Connaissez-vous ces livres ? Que lisez-vous en ce moment? 

Bonne semaine à tous et à très vite