Je ne l'ai trouvé nul part en vente, si ce n'est via le blog où je l'avais remporté lors d'un concours.
Je vous donne donc le lien fourni par le blog en question : ICI
Mais je serais vous, je me renseignerais auprès d'une des auteures de ce recueil avant de remplir le formulaire de commande, histoire de savoir si il ets effectivement disponible.
Ci dessous, je vous donne malgré tout les liens vers deux des nouvelles contenue dans ce livre (je ne trouve les deux autres nule part) :
Le correspondant inattendu : ICI
Un week-end sur deux : ICI
Yohan, Maël et Sébastien. Tous trois ont en commun d'avoir aimé et d'avoir pourtant dû se séparer de l'objet de leur amour. Par incompréhension, par éloignement physique, par lassitude devant les difficultés apparaissant comme insoutenables...
Que se passe-t-il lorsque l'autre surgit de nouveau ?
Quatre ans, deux mois et dix-huit jours :
Yohan et Tom sont séparés depuis un moment, depuis que Yohan a un jour décidé de partir sans rien dire.
En guise d'explications ? Juste 6 mots sur un papier...
Au moment où Tom s'y attend le moins, il va réapparaître en face de lui, dans une ruelle.
Cette nouvelle, c'est l'histoire de leurs retrouvailles quelque peu mouvementées. Tom va vouloir lui faire payer cette absence.
Moi qui avais lu la deuxième partie, je suis ravie d'avoir enfin comblé mes lacunes, mais surtout, d'avoir lu l'histoire de Yohan et Tom au complet ☺
Le correspondant inattendu :J'ai adoré cette histoire. Viviane Faure a eu le chic pour rendre mes yeux brillants, non pas de larmes, mais d'émotion.
Si Maël et Thomas se rencontrent, c'est un peu grâce à son amie qui est la correspondante de Thomas.
Maël ne c'est jamais vraiment posé la question de savoir s'il pourrait aimer un homme, et le jeune Thomas va éveiller certaines choses en lui.
Une histoire que j'aurais pu lire même si celle-ci comptait 200 pages. Il y a tellement d'émotions présentes, que vous aussi en lisant l'histoire, vous aurez les yeux brillants et emplis d'étoiles.
Un week-end sur deux : Voir ma chronique
Cinq ans et neuf jours : Voir ma chronique