Dans un futur très lointain, aux confins de l'univers, à des milliers de cycles-lumière de notre galaxie...l'Homme, l'un des premiers colons intergalactique, a porté la semence de notre civilisation sur des planètes fertiles, au cœur de systèmes habités, où il est maintenant une espèce intelligente parmi une multitudes d'autres...
Dans cet univers infiniment vaste, certaines galaxies et systèmes tentent de s'organiser, de trouver une harmonie commune... ailleurs, la technologie sur développée, la matière artificielle, les systèmes méta-évolutifs, ont corrompu l'évolution naturelle. L'éternelle soif de pouvoir a érigé des Empires intergalactiques qui sèment le chaos et dictent leurs lois à des civilisations soumises...dans d'autres régions intersidérales encore, des formes de vies primitives luttent pour leur survie...
À travers l'espace, depuis la nuit des temps, un Ordre bienveillant œuvre dans le plus grand secret au maintien de l'équilibre et à l'unification du Cosmos.
Mon nom est Jaadhur. Je suis un descendant humain...et je suis devenu Ujhaï, une Sentinelle de Vijā Saati, l'Alliance universelle secrète.
Ceci est l'histoire de ma vie, mais c'est aussi et surtout celle d'une quête dont dépendra l'avenir de notre Univers.
Ce que j'ai adoré dans ma lecture, c'est que je me suis sentie complètement emportée par le récit, je ne me trouvais plus chez moi bien installée dans mon fauteuil, j'étais très loin.
Que ce soit au niveau des planètes ou encore les différentes créatures que nous rencontrons, le tout est simplement décrit, et en même temps c'est assez complexe. Nous n'avons pourtant aucun mal à visualiser tout ces décors et/ou situations.
C'est le genre d'histoire, que si nous la voyons en film, elle plaît à un très large public toutes générations confondues.
La science-fiction est, pour moi en tout cas, un des styles pour lequel j'ai vraiment pas mal d'exigences, et à travers son livre, Thomas Clearlake a réussi haut la main à me captiver dès le début.
Vous êtes amateur de SF ?
Celui-ci devrait vous ravir, je vous le recommande franchement.
Merci à Thomas Clearlake pour sa proposition en service presse.