Vous ne résisterez pas à l'appel de la coloc de Venice Beach.
Ils sont six. Jeunes. Libres. Emancipés. Pas d'adultes, pas de limites.
Ils ne se sont jamais rencontrés. Le hasard les réunit en coloc dans une somptueuse villa de Venice Beach. On pourrait croire à une vie de rêve...
Mais chacun a ses ambitions.
Chacun a ses secrets.
Chacun cache quelque chose aux autres.
Sans compter ce qu'ils ignorent : à leur insu, quelqu'un les espionne à distance. Mais qui, et dans quel but ?
Entre spring break et suspense sous le soleil, une intrigue haletante

J'étais curieuse de découvrir Émancipés et je remercie les éditions Mosaïc ainsi que NetGalley pour cette opportunité.

Nous suivons six jeunes fraichement émancipés, qui se retrouvent dans une maison en bord de plage pour vivre leur vie. Chacun d'eux a sa propre histoire, ses secrets, son passé.

Quand j'ai commencé ma lecture, j'étais assez déroutée. La multiples narration à de quoi perturber. Ce n'est pas deux ou trois point de vue que nous avons mais bel et bien 7. Moi qui ne suis pas spécialement fan de ce choix, j'avais un peu de mal. Pour le coup, ça m'a totalement perdue au fil des pages.

Mais ce qui m'a le plus dérangée, c'est vraiment l' intrigue. Pendant soixante-dix pour cent du livre, j'ai trouvé que l'histoire n'avançait pas, pire même, je me demandais si j'allais continuer ma lecture... En fait, dans Émancipés, on fait la connaissance de chaque personnage pour découvrir au fur et à mesure leur passé. Et pour ma part, ça ne m'a pas emballé tant que ça...

Alors vers la fin de ma lecture, quand j'ai commencé à être dedans, que je me posais des questions, je terminais ma lecture. Et là, grosse claque. Une fin ouverte. Mais le genre de fin qui ne veut rien dire. Du coup, la partie qui relevait le niveau m'a finalement achevée, frustrée au maximum... La question c'est y a t-il une suite ? Et vais-je la lire ?

Visiblement, Émancipés n'était pas pour moi. Je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages. Peut-être un peu à Grace, mais la fin qui aurait pu tout sauver m'a vraiment déçue. Dommage.