Nom du livre : The air he breathes.
Nom de l’auteur : Brittainy C. Cherry.
Éditeur : Hugo Roman.
Livres déjà parus : 1.
Nombre de pages : 360.
Note :
Quelques mots sur l’auteur : Brittainy Cherry a toujours aimé les mots, elle a fait des études de théâtre et de lettres. Elle aime participer à l’écriture de scénarios, jouer et danser. Elle pense que tout le monde devrait boire du thé, du café et du vin, bien sûr ! Elle habite dans le Wisconsin, à Milwaukee, avec sa famille, et quand elle n’est pas en train d’écrire, elle s’occupe de ses animaux.
Tristan et Elizabeth sont voisins, ils n’ont rien en commun à part leur passé douloureux. Elle a choisi de continuer à vivre ne serait-ce que pour sa petite fille Emma. Il a choisi de s’extraire du monde. Mais Elizabeth ne l’entend pas de cette façon. Elle sait qu’ils sont tous les deux en miettes et qu’ensemble ils seront plus forts pour affronter leurs fantômes.
C’est sans compter avec toutes les embûches que les habitants de leur petite ville vont mettre sur leur route.
Eh voilà ! Je viens de ressortir de ma lecture de » The air he breathes « et je suis un peu mitigée par l’ensemble. Habituellement, j’adore les romances quand elles sont bien construites. Mais celle-ci m’a bizarrement moins touchée que d’autres et cela malgré toutes les bonnes critiques que j’ai pu lire à son sujet. La couverture est vraiment belle et après avoir lu le résumé, ce beau brun ténébreux avait achevé de me convaincre de lire cette histoire.
L’intrigue commence bien, même si l’histoire en elle même est plutôt banale mais la fin m’a complètement laissée pantoise. Je m’attendais à lire une vraie romance et pourtant vers la fin, j’ai eu la sensation de basculer dans un épisode d’esprits criminels. Je pensais trouver un roman où deux personnages brisés finiraient miraculeusement par combler les failles de l’un et de l’autre ; que cela s’arrêterait à ça. Et bien non. La fin m’a déçue.
J’ai pourtant bien apprécié les personnages même si certains sont de véritables clichés ambulants. Je me suis globalement attaché à eux mais je déplore le fait que Liz et Tristan aient uniquement des personnalités découlant de leurs blessures. Tout ce que l’on sait d’eux est tiré de leurs douloureuses pertes respectives.
La plume de l’auteur m’a agréablement surprise, elle est douce et à la fois très poétique. Je pense qu’elle est faite pour écrire ce genre de roman sentimental, car cette dernière semble clairement à l’aise pour magnifier les sentiments humains.
The air he breathes n’est pas un coup de coeur et cela malgré le fait que je dois être un des seules à le penser. J’assume, mais souhaite quand même dire que j’ai passé un bon moment de lecture.