Un homme, ça ne pleure pas est le quatrième roman de Faïza Guène après Kiffe kiffe demain, Du rêve pour les oufs et Les gens du Balto. Il est paru le 3 Janvier 2014 aux éditions Fayard.
Présentation de l'éditeur :Né à Nice de parents algériens, Mourad voudrait se forger un destin. Son pire cauchemar : devenir un vieux garçon obèse aux cheveux poivre et sel, nourri à l’huile de friture par sa mère. Pour éviter d’en arriver là, il lui faudra se défaire d’un héritage familial pesant. Mais n’est-ce que dans la rupture qu’on se découvre vraiment ?Faïza Guène interroge l’héritage familial et la question de la liberté. Rien n’est pesant, rien n’est jugement.
C'est avec ce titre choc que nous revient l'excellente Faïza Guène, déjà auteur de trois très bons romans. Enfin, elle nous revient pour notre plus grand plaisir, six ans après son précédent roman. Je vais finir par créer une pétition pour qu'elle nous revienne plus souvent !!Il faut dire que ses romans alliant humour et drame de la vie courante me touchent profondément. Ce que j'aime par dessus tout c'est l'amour qu'elle a envers ses personnages. Elle les fait pourtant passer pour des badauds mais c'est ce côté niais allié à des répliques chocs qui font leur charme.
Dans ce nouveau roman, nous suivons une famille algérienne venue s'installer à Nice. Les parents ont eu deux filles et un fils, Mourad, qui est le narrateur de l'histoire. Dounia et Mina sont deux sœurs bien opposées. Alors que la seconde file droit comme le souhaite ses parents, enfin surtout sa mère, l'autre est plutôt rebelle. Mourad, lui, est spectateur d'une famille qui se déchire parfois, et il est le pont entre la grande sœur et le reste de la famille.
Ce qui est également intéressant dans ses romans c'est qu'elle s'écarte de tout cliché pour mener à bien son histoire mais elle sait les insérer au bon moment pour nous faire rire. Les dialogues et les comportements de la mère sont à mourir de rire.
En plus de cet humour, Faïza Guène se pose des questions sur l'identité, sur, comme le signale le journaliste François Busnel de L'Express, l'héritage familial. Aussi, les commentaires intelligents du jeune Mourad ouvrent des perspectives de réflexion plutôt intéressantes sur l'intégration et le mélange des cultures. Encore un excellent roman signé Mademoiselle Guène !
Présentation de l'éditeur :Né à Nice de parents algériens, Mourad voudrait se forger un destin. Son pire cauchemar : devenir un vieux garçon obèse aux cheveux poivre et sel, nourri à l’huile de friture par sa mère. Pour éviter d’en arriver là, il lui faudra se défaire d’un héritage familial pesant. Mais n’est-ce que dans la rupture qu’on se découvre vraiment ?Faïza Guène interroge l’héritage familial et la question de la liberté. Rien n’est pesant, rien n’est jugement.
C'est avec ce titre choc que nous revient l'excellente Faïza Guène, déjà auteur de trois très bons romans. Enfin, elle nous revient pour notre plus grand plaisir, six ans après son précédent roman. Je vais finir par créer une pétition pour qu'elle nous revienne plus souvent !!Il faut dire que ses romans alliant humour et drame de la vie courante me touchent profondément. Ce que j'aime par dessus tout c'est l'amour qu'elle a envers ses personnages. Elle les fait pourtant passer pour des badauds mais c'est ce côté niais allié à des répliques chocs qui font leur charme.
Dans ce nouveau roman, nous suivons une famille algérienne venue s'installer à Nice. Les parents ont eu deux filles et un fils, Mourad, qui est le narrateur de l'histoire. Dounia et Mina sont deux sœurs bien opposées. Alors que la seconde file droit comme le souhaite ses parents, enfin surtout sa mère, l'autre est plutôt rebelle. Mourad, lui, est spectateur d'une famille qui se déchire parfois, et il est le pont entre la grande sœur et le reste de la famille.
Ce qui est également intéressant dans ses romans c'est qu'elle s'écarte de tout cliché pour mener à bien son histoire mais elle sait les insérer au bon moment pour nous faire rire. Les dialogues et les comportements de la mère sont à mourir de rire.
En plus de cet humour, Faïza Guène se pose des questions sur l'identité, sur, comme le signale le journaliste François Busnel de L'Express, l'héritage familial. Aussi, les commentaires intelligents du jeune Mourad ouvrent des perspectives de réflexion plutôt intéressantes sur l'intégration et le mélange des cultures. Encore un excellent roman signé Mademoiselle Guène !