Le coeur qui tourne, de Donal Ryan, m'a impressionné par sa construction parfaitement maîtrisée (billet à venir). Dans la crise financière irlandaise de 2008, vingt-et-un personnages prennent la parole en autant de chapitres. Passionnant!Avec Station Eleven d'Emily St. John Mandel, j'ai lu un formidable roman post-apocalyptique, à mille lieues des clichés du genre. Sur cette lancée, j'ai envie de découvrir ses romans précédents. J'ai réservé Les variations Sebastian, à paraître sous peu chez Rivages. Je me suis régalée avec un morceau de l'œuvre de Thomas King, Medicine River. Sa vision des Indiens est on ne peut plus rafraîchissante, ce qui change du ton habituel. La lecture du roman de Carrie Snyder, Invisible sous la lumière, a été une belle surprise. D'autant plus intéressant de lire l'avis d'Eva, déçue précisément par ce que j'ai adoré dans ce roman. C'est toujours passionnant de découvrir comment une même lecture résonne. La différence d'écho est parfois surprenante.Deux déceptions, ce mois-ci. Notre château d'Emmanuel Régniez. L'intrigue au parfum gothique et le style répétitif m'ont désarçonnée. Sans lui enlever ses qualités indéniables, ce n'était juste pas un roman pour moi. Éclipses japonaises d'Éric Faye. Si j'ai aimé l'intrigue basée sur un fait réel, j'ai trouvé la construction du roman décousue. Vaincue, j'ai abandonné La maison dans laquelle de Mariam Petrosyan. Je l'ai mis de côté après une cinquantaine de pages. Ce pavé m'a fermé ses portes. Où était-ce moi qui n'étais pas réceptive à son univers? Je l'ai reposé pas trop loin, espérant y revenir à un moment plus propice.
Le coeur qui tourne, de Donal Ryan, m'a impressionné par sa construction parfaitement maîtrisée (billet à venir). Dans la crise financière irlandaise de 2008, vingt-et-un personnages prennent la parole en autant de chapitres. Passionnant!Avec Station Eleven d'Emily St. John Mandel, j'ai lu un formidable roman post-apocalyptique, à mille lieues des clichés du genre. Sur cette lancée, j'ai envie de découvrir ses romans précédents. J'ai réservé Les variations Sebastian, à paraître sous peu chez Rivages. Je me suis régalée avec un morceau de l'œuvre de Thomas King, Medicine River. Sa vision des Indiens est on ne peut plus rafraîchissante, ce qui change du ton habituel. La lecture du roman de Carrie Snyder, Invisible sous la lumière, a été une belle surprise. D'autant plus intéressant de lire l'avis d'Eva, déçue précisément par ce que j'ai adoré dans ce roman. C'est toujours passionnant de découvrir comment une même lecture résonne. La différence d'écho est parfois surprenante.Deux déceptions, ce mois-ci. Notre château d'Emmanuel Régniez. L'intrigue au parfum gothique et le style répétitif m'ont désarçonnée. Sans lui enlever ses qualités indéniables, ce n'était juste pas un roman pour moi. Éclipses japonaises d'Éric Faye. Si j'ai aimé l'intrigue basée sur un fait réel, j'ai trouvé la construction du roman décousue. Vaincue, j'ai abandonné La maison dans laquelle de Mariam Petrosyan. Je l'ai mis de côté après une cinquantaine de pages. Ce pavé m'a fermé ses portes. Où était-ce moi qui n'étais pas réceptive à son univers? Je l'ai reposé pas trop loin, espérant y revenir à un moment plus propice.