Avec Le Feu Divin, c'est la seconde fois que Robert Lyndon me donne l'impression qu'il vient à portée d'oreilles me raconter une histoire. Et comme avec La Quête, il m'embarque dans son ambitieuse épopée dès les premières lignes de son roman, dès les premiers mots prononcés par son narrateur.
Robert Lyndon a cette faculté quasi cinématographique de placer son lecteur au cœur du récit avec une économie de mots savants. À la clé pour celui qui tourne les pages, une histoire haute en couleurs qui ne lui laisse aucun répit.
La magie opère à nouveau dans cette nouvelle quête palpitante. Les pérégrinations de ce casting divin, réservent de nombreuses surprises aux lecteurs et la fin risque d'en chambouler plus d'un...
Une nouvelle fois, je loue le travaille de la traductrice Élodie Leplat qui contribue grandement au charme et à la musicalité du récit.
N'ayez pas peur de foncer tête baissée vers ce Feu Divin, vous ne risquez que le risque vous brûler les yeux, faute de parvenir à reposer le livre entre deux chapitres.
Frédéric Fontès, www.4decouv.com