Fallait pas me chercher ! - Tome 2 - Emma M. Green

"Alors que j'essaie vainement de lutter contre mon attirance pour Nils Eriksen, garde du corps glacial et amant brûlant, voilà qu'il se blesse en jouant les héros ! Forcée de me passer de lui, je réalise le vide immense qu'il laisse dans ma vie. Mais comment fait-il pour me pourrir l'existence même quand il n'est pas là ?! Surtout quand il n'est pas là en fait". "J'ai encore une fois sauvé la vie de cette foutue princesse de Valentine Cox. Et comment me remercie-t-elle ? En me remplaçant par le roi des guignols, un garde du corps bodybuildé qui ne saura probablement pas protéger ses fesses aussi bien que moi. C'est ce qui arrive quand on laisse entrer une nana pareille dans sa vie : elle vous prend la tête... mais aussi le cœur".
460 pages
Editeur : Editions Addictives (8 septembre 2016)
Pour acheter ce livre via Amazon

J'avais hâte de l'avoir dans les mains, et une fois le livre ouvert, quel plaisir de retrouver la petite Princesse et le grand Barbare... Et donc, on reprend l'histoire là où on s'était arrêté. A savoir que le sexy bodyguard est à l'hôpital avec des moufles et que Valentine s'envole pour New York avec sa copine Aïna et le nouveau canon qui lui sert de garde du corps...
Entre Valentine et Nils c'est fort, c'est torride, c'est drôle... Ils vont enfin vivre leur relation mais bon... comme vous vous en doutez, il y a toujours un imprévu...
Comme à chaque fois l'humour est présent, les sentiments aussi, sans oublier les rebondissements avec des manigances, des révélations, de l'action... Et encore une fois, on voyage. Les Etats-Unis, la Norvège et même l'Afrique. Pas le temps de s'ennuyer, les pages se tournent toutes seules avec le rythme soutenu que nous font suivre les auteures. Et comme à chaque fois que je lis un de leurs livres, c'est complètement addictif. Même si y a des trucs c'est un peu gros mais bon... ça passe.
Bref, un avis court, mais un coup de cœur. De toute façon, à chaque fois j'adore les livres d'Emma M. Green et y a pas de raison que ça change...