Synopsis : Le criminel le plus sauvage du pays vient de s’échapper. À l’issue d’un carnage qui promet d’être le premier d’une longue série, il a franchi les murs de son hôpital psychiatrique. Qui l’a aidé ? Et à quelle fin ? De nouveau, Jeanne Lumet, celle qui a permis son arrestation un an auparavant, se dresse sur la route ensanglantée de celui que les journalistes ont surnommé Le Prince. Et de nouveau, elle agit au péril de sa vie, entre Bareuil – son mentor qui joue un jeu sadique avec elle – et Falier – le flic en fin de parcours censé la protéger.
Dans La Fureur du Prince, Thierry Berlanda convoque les personnages de L’Insigne du Boiteux pour nous faire frémir de plus belle. Il y parvient au-delà de tout espérance.
J'avais terminé l'année 2015 en lisant ce super livre que Thierry Berlanda m'a gentiment renvoyé dans sa nouvelle édition. Je l'ai relu avec le même plaisir, et mon avis n'a pas changé. J'aime le style de l'auteur qui sait nous entraîner dans la folie meurtrière de ce prince déchu. Je n'ai pas modifié ma chronique puisqu'après relecture, j'ai exactement le même avis. Vous pouvez vous procurer ce livre aux Editions Numériklivres
La trilogie est à présent complète puisque vient de sortir récemment "La nuit du sacre" le dernier opus de cette saga.
J'ai fini l'année 2015 avec ce livre. Thierry Berlanda me l'a gentiment envoyé. Il s'agit de la suite de "L'insigne du Boîteux", dans lequel on retrouve avec plaisir les personnages principaux : Lumet, Bareuil et Fallier.
On se retrouve avec un Prince Ahravani emprisonné et jugé, qui doit être transféré dans une unité spécialisé dans le traîtement des prisonniers souffrants de lourds troubles psychiatriques. Tout est mis en oeuvre pour son arrivée. Catherine Turner, nouvelle directrice de cette unité espére prouver qu'elle peut soigner même le pire des criminels. Malheureusement, quelques heures après son arrivée, et suite à la visite de Bareuil, le prince réussit à s'évader. Lartigues qui a remplacé Fallier est aux aguets, toutes les polices sont à sa recherche.
Jeanne Lumet, qui ne s'est pas remise de cette histoire va tout mettre en oeuvre pour le retrouver, avec l'aide d'un Fallier amoindri.
J'ai retrouvé avec plaisir les personnages de l'insigne du boiteux, et j'ai vraiment beaucoup aimé ce nouvel opus. Une fois de plus, Thierry Berlanda réussit à nous entraîner dans un page turner inquiétant. Dès le début on plonge dans l'histoire, parce qu'on se doute bien que tout ne va pas se passer comme sur des roulettes avec Ahravani. On en apprend un peu plus sur ce Prince et on comprend peu à peu comment il en est arrivé là. Dans ce deuxième livre, Jeanne Lumet est moins mise en avant, et Fallier est un peu plus sur le devant de la scène. Si j'avais refermé "L'insigne du Boîteux" avec une préférence pour Jeanne. Dans cet opus, ma préférence va à Fallier, ce Commissaire à la retraite, qui ne baisse pas les bras, malgré une santé déclinante.
Mais voilà, arrivée à la fin, on voudrait déjà pouvoir lire la suite. Mais il va nous falloir attendre encore un peu.
Pour information, l'insigne du boîteux et la fureur du Prince vont être réédités, alors si vous ne les avez pas encore lus, ce sera le moment de les découvrir.
J'attends maintenant avec impatience le dernier opus de cette trilogie. Je remercie une fois encore Thierry Berlanda de m'avoir permis de découvrir ce livre.
Dans La Fureur du Prince, Thierry Berlanda convoque les personnages de L’Insigne du Boiteux pour nous faire frémir de plus belle. Il y parvient au-delà de tout espérance.
J'avais terminé l'année 2015 en lisant ce super livre que Thierry Berlanda m'a gentiment renvoyé dans sa nouvelle édition. Je l'ai relu avec le même plaisir, et mon avis n'a pas changé. J'aime le style de l'auteur qui sait nous entraîner dans la folie meurtrière de ce prince déchu. Je n'ai pas modifié ma chronique puisqu'après relecture, j'ai exactement le même avis. Vous pouvez vous procurer ce livre aux Editions Numériklivres
La trilogie est à présent complète puisque vient de sortir récemment "La nuit du sacre" le dernier opus de cette saga.
J'ai fini l'année 2015 avec ce livre. Thierry Berlanda me l'a gentiment envoyé. Il s'agit de la suite de "L'insigne du Boîteux", dans lequel on retrouve avec plaisir les personnages principaux : Lumet, Bareuil et Fallier.
On se retrouve avec un Prince Ahravani emprisonné et jugé, qui doit être transféré dans une unité spécialisé dans le traîtement des prisonniers souffrants de lourds troubles psychiatriques. Tout est mis en oeuvre pour son arrivée. Catherine Turner, nouvelle directrice de cette unité espére prouver qu'elle peut soigner même le pire des criminels. Malheureusement, quelques heures après son arrivée, et suite à la visite de Bareuil, le prince réussit à s'évader. Lartigues qui a remplacé Fallier est aux aguets, toutes les polices sont à sa recherche.
Jeanne Lumet, qui ne s'est pas remise de cette histoire va tout mettre en oeuvre pour le retrouver, avec l'aide d'un Fallier amoindri.
J'ai retrouvé avec plaisir les personnages de l'insigne du boiteux, et j'ai vraiment beaucoup aimé ce nouvel opus. Une fois de plus, Thierry Berlanda réussit à nous entraîner dans un page turner inquiétant. Dès le début on plonge dans l'histoire, parce qu'on se doute bien que tout ne va pas se passer comme sur des roulettes avec Ahravani. On en apprend un peu plus sur ce Prince et on comprend peu à peu comment il en est arrivé là. Dans ce deuxième livre, Jeanne Lumet est moins mise en avant, et Fallier est un peu plus sur le devant de la scène. Si j'avais refermé "L'insigne du Boîteux" avec une préférence pour Jeanne. Dans cet opus, ma préférence va à Fallier, ce Commissaire à la retraite, qui ne baisse pas les bras, malgré une santé déclinante.
Mais voilà, arrivée à la fin, on voudrait déjà pouvoir lire la suite. Mais il va nous falloir attendre encore un peu.
Pour information, l'insigne du boîteux et la fureur du Prince vont être réédités, alors si vous ne les avez pas encore lus, ce sera le moment de les découvrir.
J'attends maintenant avec impatience le dernier opus de cette trilogie. Je remercie une fois encore Thierry Berlanda de m'avoir permis de découvrir ce livre.