En ce premier dimanche d'octobre, je vous propose plusieurs citations extraites de " Le club de la petite librairie " de Deborah Meyler.
Une époque peut ignorer ce qu'une autre a encensé et ce qu'une autre encore vénéra de nouveau.
On ne peut pas bâtir une relation sur un mensonge, même par omission.
On ne peut pas se promener sans but à part si on a un chien.
Tout ce qui s'est passé détermine la suite des événements. Ça peut ressembler à un choix, mais la façon dont nous tombons est toujours déterminée par ce qui s'est passé avant. Alors, nous ne pouvons pas choisir.
La musique, c'est comme la poésie. Elle peut vous permettre d'arrêter de penser. Elle peut aussi vous ouvrir.
N'importe quel sujet, n'importe quel objet ou paysage peut être intéressant à partir du moment où on le regarde avec attention. C'est quand on reste à la surface des choses qu'elles sont ennuyeuses, comme un paysage agricole qu'on traverse en train peut paraître monotone alors que, si on parcourait les chemins à pied, en prenant le temps d'observer cette même campagne, on serait enchanté par ces étendues.
Notre être se nourrit de l'amour que nous donnons et que nous recevons. Tout le reste est dérisoire.