Résumé :
Jeune provincial avide de réussite et de plaisirs, Aurélien se lance à l'assaut de Paris, et de la grande aventure du Théâtre. Beau, désinvolte, insolent, il fait la conquête d'un éminent chef d'orchestre, séduit une vieille faiseuse de carrières, pince les fesses d'un ministre et charme un cacochyme empereur des médias. Dans les salons, les fêtes mondaines et les back-rooms où se mettent à nu les édiles culturels, où les prétendants aux nominations se déchirent, où l'on conspire à l'envi et profane les réputations, Aurélien est le nouveau talent qu'on rêve d'étreindre comme une jeune proie, et qui, sûrement, saura se montrer prodigue. Mais ses vraies amours sont ailleurs. Iris, Serena, Kamel, Gloria, Ulrika..., reines transgenres et faune de la nuit, qui prennent d'assaut Pôle Emploi et ourdissent une décisive révolte des putes. Et surtout Lucas, enfant trop mal aimé, poète magnifique mais inaccompli qui cherche avec humilité et désespoir une raison d'être au monde, de vivre encore, de croire...
Mon avis :
J'ai fini ce bouquin il y a déjà quelques jours mais je trouve enfin le temps de donner mon avis.
Et pourtant, Dieu sait que cette histoire m'a plu. Dès les premières pages j’étais totalement plongée dedans, j'ai savouré chaque page, chaque personnage, chaque aventure.
L’écriture est absolument divine, le style est là. Les personnages sont tous très hauts en couleurs. Il y a Aurélien, celui qui se fout de tout mais prend tout au sérieux. Lucas, le petit oiseau fraichement tombé du nid après avoir perdu son amour et son père. Et puis autour d'eux gravitent putes, transgenres, travesti, bdsm.
Olivier Py a mélangé dans ce roman plusieurs histoires, plusieurs univers. La communauté LGBT+ côtoie la vie politique, le ministère de la Culture et le grand Opéra. Théâtre, musique, soirées porno ou mondaines. Tout y est. Tout le monde est partout mais chut, il ne faut rien dire.
On profite de la vie, on se bat (ou pas) pour ce en quoi l'on croit, ce qui nous anime et nous fascine.
J'ai pris un plaisir de dingue à dévorer ces 500 pages, j'ai absolument tout aimé. Je me suis passionnée pour les soirées LGBT+, pour les magouilles politiques, pour le sexe, pour le genre, pour la liberté. Et pour l'amour.
Parce que finalement, ce livre n'est qu'amour. L'amour de tout, de rien, de l'autre. Et c'est magnifique.
Les Parisiens est clairement un des meilleurs livres que j'ai lu cette année.
Jeune provincial avide de réussite et de plaisirs, Aurélien se lance à l'assaut de Paris, et de la grande aventure du Théâtre. Beau, désinvolte, insolent, il fait la conquête d'un éminent chef d'orchestre, séduit une vieille faiseuse de carrières, pince les fesses d'un ministre et charme un cacochyme empereur des médias. Dans les salons, les fêtes mondaines et les back-rooms où se mettent à nu les édiles culturels, où les prétendants aux nominations se déchirent, où l'on conspire à l'envi et profane les réputations, Aurélien est le nouveau talent qu'on rêve d'étreindre comme une jeune proie, et qui, sûrement, saura se montrer prodigue. Mais ses vraies amours sont ailleurs. Iris, Serena, Kamel, Gloria, Ulrika..., reines transgenres et faune de la nuit, qui prennent d'assaut Pôle Emploi et ourdissent une décisive révolte des putes. Et surtout Lucas, enfant trop mal aimé, poète magnifique mais inaccompli qui cherche avec humilité et désespoir une raison d'être au monde, de vivre encore, de croire...
Mon avis :
J'ai fini ce bouquin il y a déjà quelques jours mais je trouve enfin le temps de donner mon avis.
Et pourtant, Dieu sait que cette histoire m'a plu. Dès les premières pages j’étais totalement plongée dedans, j'ai savouré chaque page, chaque personnage, chaque aventure.
L’écriture est absolument divine, le style est là. Les personnages sont tous très hauts en couleurs. Il y a Aurélien, celui qui se fout de tout mais prend tout au sérieux. Lucas, le petit oiseau fraichement tombé du nid après avoir perdu son amour et son père. Et puis autour d'eux gravitent putes, transgenres, travesti, bdsm.
Olivier Py a mélangé dans ce roman plusieurs histoires, plusieurs univers. La communauté LGBT+ côtoie la vie politique, le ministère de la Culture et le grand Opéra. Théâtre, musique, soirées porno ou mondaines. Tout y est. Tout le monde est partout mais chut, il ne faut rien dire.
On profite de la vie, on se bat (ou pas) pour ce en quoi l'on croit, ce qui nous anime et nous fascine.
J'ai pris un plaisir de dingue à dévorer ces 500 pages, j'ai absolument tout aimé. Je me suis passionnée pour les soirées LGBT+, pour les magouilles politiques, pour le sexe, pour le genre, pour la liberté. Et pour l'amour.
Parce que finalement, ce livre n'est qu'amour. L'amour de tout, de rien, de l'autre. Et c'est magnifique.
Les Parisiens est clairement un des meilleurs livres que j'ai lu cette année.