Synopsis : Désespéré, Ted McKay est sur le point de se tirer une balle dans le crâne lorsque le destin s’en mêle et qu’un inconnu sonne à sa porte. Et insiste. Jusqu’à lui glisser un mot sur le palier.
Un mot écrit de la propre main de Ted, et on ne peut plus explicite : Ouvre la porte. C’est ta dernière chance.
Ted ne se souvient absolument pas avoir écrit ce mot. Intrigué, il ouvre à l’inconnu, un certain Justin Lynch. Et se voit proposer un marché séduisant qui permettrait d’épargner un peu sa femme et ses filles : on lui offre de maquiller son suicide en meurtre.
Lorsque Maud des Editions Calmann-Levy m'a proposé ce livre, j'ai d'abord été littéralement conquise par la couverture que j'adore ! Ensuite le résumé m'a intrigué.
Dans L’opossum rose, l'histoire s'ouvre sur Ted McKay qui est prêt à se suicider. Il a tout préparé et il est prêt à appuyer sur la gâchette lorsqu'on frappe à sa porte. Ted se dit que la personne ne vas pas insister et attend donc qu'elle s'en aille. Oui mais voilà, la personne derrière la porte insiste et va même lui glisser un mot sous la porte. Un mot écrit de la main de Ted lui-même, qui dit "Ouvre la porte, c'est ta dernière chance". Ted va ouvrir pour savoir qui se cache derrière la porte. Un certain Justin Lynch est là et lui propose un marché particulier : maquiller son suicide en meurtre. Lynch dit appartenir à une organisation secrète qui vient en aide aux gens en détresse. Ted au départ réticent, finit par accepter ce marché. Il va alors devoir tuer 2 personnes. La première, est Edward Blaine qui a assassiné sauvagement une jeune femme, mais il a été relâché faute de preuves. La deuxième est un homme qui souhaite lui aussi se suicider.
Je vais m'arrêter là pour l'histoire, ne voulant pas trop en dire. Tout d'abord, ce livre est un gros coup de coeur ! Plus j'avançais dans ma lecture et plus je voulais en savoir plus. Au départ, on pense à une simple histoire de surmenage, de pétage de plomb, puis progressivement on s'aperçoit doucement que Ted ne nous raconte pas tout. Mais on est loin de se douter une seule seconde de la vérité.
L'intrigue est savamment orchestré par Federico Axat qui réussit là un parfait coup de maître ! Il tire les ficelles et vous finissez par ne plus savoir ce qui est vrai et ce qui est faux. Impossible dès lors de trouver l'issue de cette histoire. Ted est-il celui qu'il dit être ? On finit par ne plus savoir.
Les personnages sont bien travaillés et le style de l'auteur est très agréable. Alternant tour à tour les chapitres entre passé et présent, Federico Axat ne nous perd pas dans ce labyrinthe, bien au contraire. J'ai adoré cette lecture, ne sachant vraiment pas à quoi m'attendre ! De ce fait, je ne peux que vous conseiller de vous jeter sur ce thriller ! Avec "L'opossum rose" vous allez vous faire embarquer dans une histoire complètement démente. N'hésitez plus !
Je remercie chaleureusement les Editions Calmann-Levy pour ce service presse de qualité.
Un mot écrit de la propre main de Ted, et on ne peut plus explicite : Ouvre la porte. C’est ta dernière chance.
Ted ne se souvient absolument pas avoir écrit ce mot. Intrigué, il ouvre à l’inconnu, un certain Justin Lynch. Et se voit proposer un marché séduisant qui permettrait d’épargner un peu sa femme et ses filles : on lui offre de maquiller son suicide en meurtre.
Lorsque Maud des Editions Calmann-Levy m'a proposé ce livre, j'ai d'abord été littéralement conquise par la couverture que j'adore ! Ensuite le résumé m'a intrigué.
Dans L’opossum rose, l'histoire s'ouvre sur Ted McKay qui est prêt à se suicider. Il a tout préparé et il est prêt à appuyer sur la gâchette lorsqu'on frappe à sa porte. Ted se dit que la personne ne vas pas insister et attend donc qu'elle s'en aille. Oui mais voilà, la personne derrière la porte insiste et va même lui glisser un mot sous la porte. Un mot écrit de la main de Ted lui-même, qui dit "Ouvre la porte, c'est ta dernière chance". Ted va ouvrir pour savoir qui se cache derrière la porte. Un certain Justin Lynch est là et lui propose un marché particulier : maquiller son suicide en meurtre. Lynch dit appartenir à une organisation secrète qui vient en aide aux gens en détresse. Ted au départ réticent, finit par accepter ce marché. Il va alors devoir tuer 2 personnes. La première, est Edward Blaine qui a assassiné sauvagement une jeune femme, mais il a été relâché faute de preuves. La deuxième est un homme qui souhaite lui aussi se suicider.
Je vais m'arrêter là pour l'histoire, ne voulant pas trop en dire. Tout d'abord, ce livre est un gros coup de coeur ! Plus j'avançais dans ma lecture et plus je voulais en savoir plus. Au départ, on pense à une simple histoire de surmenage, de pétage de plomb, puis progressivement on s'aperçoit doucement que Ted ne nous raconte pas tout. Mais on est loin de se douter une seule seconde de la vérité.
L'intrigue est savamment orchestré par Federico Axat qui réussit là un parfait coup de maître ! Il tire les ficelles et vous finissez par ne plus savoir ce qui est vrai et ce qui est faux. Impossible dès lors de trouver l'issue de cette histoire. Ted est-il celui qu'il dit être ? On finit par ne plus savoir.
Les personnages sont bien travaillés et le style de l'auteur est très agréable. Alternant tour à tour les chapitres entre passé et présent, Federico Axat ne nous perd pas dans ce labyrinthe, bien au contraire. J'ai adoré cette lecture, ne sachant vraiment pas à quoi m'attendre ! De ce fait, je ne peux que vous conseiller de vous jeter sur ce thriller ! Avec "L'opossum rose" vous allez vous faire embarquer dans une histoire complètement démente. N'hésitez plus !
Je remercie chaleureusement les Editions Calmann-Levy pour ce service presse de qualité.