Auteur : Nicolas Beuglet
Titre : Le cri
ISBN : 9782845638778
384 pages
Nicolas Sker ( pseudonyme de Nicolas Beuglet ) est Directeur artistique et scénariste d’une grande chaîne de télévision.
Le premier crane (Michel Lafon, 2011) est son premier roman.
4eme de couverture :
Hôpital psychiatrique de Gaustad, Oslo. À l’aube d’une nuit glaciale, le corps d’un patient est retrouvé étranglé dans sa cellule, la bouche ouverte dans un hurlement muet. Dépêchée sur place, la troublante inspectrice Sarah Geringën le sent aussitôt : cette affaire ne ressemble à aucune autre…
Et les énigmes se succèdent : pourquoi la victime a-t-elle une cicatrice formant le nombre 488 sur le front ? Que signifient ces dessins indéchiffrables sur le mur de sa cellule ? Pourquoi le personnel de l’hôpital semble si peu à l’aise avec l’identité de cet homme interné à Gaustad depuis plus de trente ans ?
Pour Sarah, c’est le début d’une enquête terrifiante qui la mène de Londres à l’île de l’Ascension, des mines du Minnesota aux hauteurs du vieux Nice.
Soumise à un compte à rebours implacable, Sarah va lier son destin à celui d’un journaliste d’investigation français, Christopher, et découvrir, en exhumant des dossiers de la CIA, une vérité vertigineuse sur l’une des questions qui hante chacun d’entre nous : la vie après la mort…
Et la réponse, enfouie dans des laboratoires ultrasecrets, pourrait bien affoler plus encore que la question !
Mon résumé :
C’est une période difficile pour Sarah Geringën, inspectrice norvégienne. Le moins qu’on puisse dire c’est que sa vie sentimentale n’est pas vraiment au beau fixe. Et Si c’était l’occasion de se mettre sur cette enquête pour le moins mystérieuse.
Elle est appelée sur une enquête qui se passe dans un hôpital psychiatrique, ou un patient, appelé 488 est mort de façon plutôt mystérieuse, il semble s’être étranglé après avoir passé près de 30 ans, sans dire un seul mot.
Rapidement, l’enquête s’emballe et tourne au drame, on sent que le directeur à sà sa part de responsabilité et semble cacher bien des secrets. Quoi de mieux que de tout faire sauter pour ne rien avoir à dire ? Et tans pis si des personnes doivent périr ! Une organisation semble tirer les ficelles et les questions de Sarah déplaisent: tandis qu’elle traverse l’Europe pour obtenir des réponses, elle trouve sur son chemin des hommes de main bien déterminés et se retrouve associée à Christopher, un journaliste français. Cette association inédite fait rapidement l’objet d’un immonde chantage : la vérité contre la vie d’un enfant.
Mon avis :
Ce thriller est une véritable réussite. On sens bien l’ambiance noir qui règne au seins de cet hôpital qui on l’imagine, en plein cœur de ce froid norvégien. JE ne me suis pas ennuyé un seul instant. Chapitres après chapitres, paragraphes après paragraphes, Nicolas Beuglet déroule son histoire (de dingue) dans un timing parfait. Il démarre avec une enquête classique et le rythme est plutôt piano-piano…pendant les tous premiers chapitres seulement, il s’emballe tout de suite après pour ne jamais ralentir par la suite. Il devient « inlâchable » , mais n’ayant pas le temps en journée de lire, j’ai malgré tout dû le lâcher, sinon il est clair que je l’aurais fini en à peine 2 jours.
Classé dans:Thriller