Le dessin est lui majoritairement confié à deux artistes d'exception. Francis Manapul est un de mes favoris. Ici le trait est moins gras et schématique que dans Wonder Woman, par exemple, et la souplesse, et la légibilité des planches (construites avec moins d'audace, mais plus de lisibilité) sont remarquables. Un travail sans tâches, sublime. Puis Jason Fabok, qui opère toujours dans la catégorie du réalisme et du détail froid et clinique, baigné dans una ambiance sombre à souhait. L'élève à dépassé le maître et David Finch semble aujourd'hui loin derrière de Fabok majestueux. Dernier tome donc, qui en jette, dans les grandes largeurs!
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