Marcus est un pénitencier. Un prêtre capable de déceler le mal enfoui en nous. Sandra est enquêtrice photo pour la police. Elle photographie les scènes de crime, et ferme parfois les yeux. Face à la psychose qui s’empare de Rome ils vont unir leur talents pour traquer un monstre. Ses victimes : des couples. Une balle dans la nuque pour lui. Une longue séance de torture pour elle. Quel est l’être maléfique qui ne tue que des jeunes amoureux ?
– Ton devoir est de trouver le mal au nom et pour le compte de l’Eglise. Ta préparation sera la même que celle d’un criminologue ou d’un profiler de la police, mais en plus tu seras capable de percevoir des détails qui échappent aux autres. il y a des choses que les hommes ne veulent pas voir ni admettre.
– Pourquoi moi ?
– Le mal est la règle, Marcus. Le bien est l’exception.
Je remercie les éditions Le livre de poche ainsi que Babelio pour l’envoi de ce roman. Ayant adoré LE CHUCHOTEUR du même auteur, c’est avec plaisir et impatience que je me suis plongée dans MALEFICO. J’ai été surprise de découvrir à la fin du roman qu’il s’agit du second tome de Le tribunal des âmes, honnêtement, je n’ai pas été gênée durant ma lecture, bien au contraire.
On découvre Marcus, un pénitencier, qui a voué sa vie au Vatican. Son rôle ? Déceler le mal des êtres humains. Sandra est une enquêtrice et elle photographie les scènes de crimes afin de comprendre leur déroulement. Lors d’une affaire pas comme les autres, elle demande à son ami Marcus de l’aider. Tous deux vont enquêter sur des crimes de couples, dont l’homme est tué sur le coup alors que la femme est torturée avant d’être exécutée.
Dès le début je me suis sentie happée par l’histoire, car tout ce qui touche aux croyances et superstitions m’intéresse. Cependant, j’ai eu du mal à comprendre les différents rôles des personnages, car à mon sens, il y en avait trop. L’écriture de l’auteur est toujours aussi détaillée et riche en vocabulaire propre au criminologue, mais j’ai trouvé que l’histoire était beaucoup trop divisée en plusieurs éléments. Parfois j’ai eu du mal à distinguer les personnages et à me rappeler qui était qui.
La révélation finale est toujours aussi bluffante et les éléments parsemés au fil de l’histoire s’imbriquent parfaitement. J’ai passé un bon moment de lecture, mais il ne s’agit pas là d’une histoire qui m’a marqué, contrairement au CHUCHOTEUR.