Agustina
est une jeune adolescente infirme ; elle
dépasse son handicap (des jambes mortes liées
à une naissance mouvementée)
grâce à sa dextérité avec les béquilles et sa vivacité
d'esprit. Décidée à
gravir une montagne, elle doit son équilibre par
son environnement bienveillant : sa nourrice Nina (une maman de
remplacement pendant que la biologique, chercheuse et voyageuse dans
l'âme, narre ses exploits au moyen de lettres), le bricoleur
Vermundur et l'amoureux Salomon.
Dans Le rouge vif de la rhubarde, On retrouve le plaisir d'Audur
Ava Olafsdottir à décrire les
instants précieux du quotidien (le
test du chant), les coutumes
locales (les confitures de
rhubarde impossibles à consommer),
ceux qui façonnent et rythment une vie.
Il y a toujours cette belle écriture, des héros attachants, de belles descriptions et des confidences qui évacuent tout secret stérile et propice à la confusion. Bien que bringuebalante, Agustina est un personnage très stable affectivement et humainement : une héroïne sereine. J'ai lu avec plaisir cette première œuvre, éditée en France éditée bien après les autres romans d'Audur Ava Olafsdottir mais je reconnais avoir ressenti un certain ennui en raison de la langueur et l'absence de péripéties. J'ai apprécié la lecture mais voilà, il m'en faut plus pour m'évader et me bousculer (je deviens exigeante avec cette auteure dont j'affectionne l’œuvre et la splendide prose).
Editions Zulma Très belle traduction de Catherine Eyjolsson autres avis : Virginie Neuville,
Il y a toujours cette belle écriture, des héros attachants, de belles descriptions et des confidences qui évacuent tout secret stérile et propice à la confusion. Bien que bringuebalante, Agustina est un personnage très stable affectivement et humainement : une héroïne sereine. J'ai lu avec plaisir cette première œuvre, éditée en France éditée bien après les autres romans d'Audur Ava Olafsdottir mais je reconnais avoir ressenti un certain ennui en raison de la langueur et l'absence de péripéties. J'ai apprécié la lecture mais voilà, il m'en faut plus pour m'évader et me bousculer (je deviens exigeante avec cette auteure dont j'affectionne l’œuvre et la splendide prose).
Editions Zulma Très belle traduction de Catherine Eyjolsson autres avis : Virginie Neuville,