Bonjour,

Première expérience pour moi de la critique d’une nouvelle . Je remercie Serge Rocha Da Fonseca Moreira Christa pour sa confiance mais aussi pour avoir été à l’écoute de mes remarques

En effet, j’ai hésité à faire cette chronique…mais après avoir échangé avec l’auteur, j’ai décidé qu’il n’y avait pas de raisons de ne pas la faire. Je vous explique tout ça

4ème de couverture

Philis, un personnage étrange vivant de rien en bord de mer, regarde l’océan retiré anormalement au loin. Tandis qu’il tente de comprendre ce qui se passe, un homme l’observe du haut de la dune.
Tous deux vont être surpris par un raz de marée, l’un terrifié par la sourde puissance de la nature, l’autre enjoué tel un jeune fiancé devant l’autel.

Mon avis

Comment vous parlez de Philis ? C’est un retour à le Mer(e). Je ne vois pas comment dire les choses autrement.

Dans sa 4ème de couverture, l’auteur parle « d’un jeune fiancé devant l’autel », ce n’est pas l’image que j’utiliserai car dans cette situation il y a souvent de l’angoisse vis à vis de l’avenir. Même si le personnage est adulte, j’aurais plutôt utilisé l’image de l’enfant au sein de sa mère. Pourquoi? Parce que tout simplement, tout comme Philis, l’enfant n’a besoin de rien sauf de se retrouver dans les bras de sa Mèr(e).

Je ne suis pas sûre d’avoir la capacité par mes « pauvres » mots de vous faire comprendre la relation de Philis à la Mer qui l’apaise, le rassure, le nourrit et l’accueil…il a un lien profond avec elle.

Quand à l’homme qui l’observe, c’est vous, c’est moi qui se débat comme il peut avec ses problèmes, s’interroge et d’une certaine manière admire Philis qui « a choisi de n’avoir besoin de rien »

Comme vous pouvez le lire, j’ai aimé l’histoire mais car il en faut toujours (rien n’est parfait )

• Dans la version que j’ai eu il y avait énormément de fautes d’orthographe…toutefois ne prenez pas trop en considération cette remarque vu que l’auteur m’a dit qu’il ferait le nécessaire pour que le texte soit corrigé. Ce qui permettra à chacun d’apprécier le style fluide de l’auteur.
• Lorsque l’auteur parle de l’homme il passe du « je » au « il » ce qui est pour moi assez perturbant
• Enfin avant de retrouver sa mer(e), Philis complète une lettre…hors la lettre lui est adressée (???)

Conclusion :

J’ai trouvé l’exercice de la chronique d’une nouvelle plutôt complexe car le texte est court et pourtant riche en messages. D’ailleurs à la relecture je me rends compte que j’en ai oublié certains.

Mais qu’importe !  Ce fut une parenthèse agréable (qui pousse à la réflexion) malgré quelques faiblesses !

Bonne lecture !!<3