Publié par Payot le 17 août 2016
Genre: Litterature française
Pages: 192
Format: Livre papier
Lu par : Ciena
Présentation de l'éditeur :
Une seule lettre change et tout est déréglé. Le narrateur va l'apprendre à ses dépens quand après avoir travaillé quelque temps dans une papeterie, il décide de devenir correcteur professionnel. Il y est d'autant plus résolu que sa mère a toujours cru qu'il était prédestiné à ce métier. Il est embauché à ce poste dans la Revue du Tellière, dirigée par Reine, une femme autoritaire et dominatrice qui va bientôt s'exercer sur lui son emprise. Reine le fascine autant quelle l'intimide. L'aventure se complique lorsqu'il constate que des coquilles sont systématiquement ajoutées après Y coup sur son jeu de copies. Il soupçonne bientôt Reine de les glisser là délibérément afin de le prendre en faute. Mais bientôt des coquilles d'une tout autre nature vont faire leur apparition... Dans ce premier roman au style incisif, Elodie Llorca nous livre une fable savoureuse sur les pièges de l'inconscient et les sortilèges du langage.
Ce titre fait partie de la rentrée littéraire et…comment dire ….. non je ne comprends pas pourquoi.
Je l’ai lu en une heure.
Pourtant l’histoire était intrigante : un correcteur qui trouve dans son texte des coquilles qui n’y étaient pas et commence à se demander si quelqu’un ne l’a pas fait exprès.
Mais voilà, le héros est gris, sans intérêt aucun et psycho-rigide. Même pas le psycho-rigide drôle, non. Sa vie tourne autour de la mort de sa maman, ses coquilles et voilà.
Le souci c’est qu’en plus l’auteure semble s’être totalement faite vampirisée par son héros et l’écriture, qui pourtant est maîtrisée, en devient aussi grise et sans intérêt que lui.
Certes si on comprend la fin (tout juste sous-entendue) on a un petit pincement au coeur mais honnêtement…. C’est un bon début pour une nouvelle auteure mais j’ai lu des livres de jeunes auteurs indépendants largement meilleurs.
La couverture est au moins aussi “grise” que l’histoire. Désolée je ne suis pas du tout convaincue.
je mets une étoile pour l’écriture.