Trilogie des gemmes, tome 1 : Rouge Rubis de Kerstin Gier

Gwendolyn est une ado comme les autres.
Bon, d'accord, il lui arrive de voir des fantômes dans les couloirs de son lycée. Et puis, oui, c'est vrai, certains membres de sa famille peuvent voyager dans le temps. Mais aucune famille n'est parfaite!
D'ailleurs, Gwendolyn ne se sent pas vraiment concernée. C'est sa cousine qui est censée développer cette capacité.
Sauf qu'un jour, Gwen est prise de vertiges et s'évanouit. Quand elle se réveille, tout semble bizarrement vieux. Comme si elle avait débarquer dans un autre siècle...
J’ai adoré ma relecture de ce tome. J’aime énormément le fait que certains peuvent voyager dans le temps et porter des vêtements de cette époque. Et malgré une deuxième lecture, je suis toujours aussi folle de cet univers. Ce fut un plaisir de retrouver Gwendolyn et son amie, mais surtout l’univers de l’auteur. Tout au long de notre lecture, nous sommes intrigués et emportés dans l’aventure. Même si Gwendolyn vit dans une famille qui porte le gêne, celle-ci est toujours restée en retrait sans jamais rien en savoir, sauf ce qui a pu échapper de temps à autre. Mais voilà, sa grand-mère et l’organisation secrète se sont trompées de personne, et Gwendolyn se retrouve projetée dans un univers, pour lequel elle n’est pas prête. Grâce à l’aide de son amie, elle va découvrir plein de choses et surtout beaucoup sur un personnage effrayant et assez perturbant pour Gwendolyn. Elle va aussi trouver un peu d’aide en Gideon, même si au départ, c’est assez compliqué et conflictuel entre eux. Mais ce dernier appartient au Cercle depuis toujours, donc il connaît leur univers, leurs secrets et surtout, il poursuit sa mission depuis deux ans sans l’aide du précieux Rubis. De plus, nous avons plein d’énigmes qui viennent se greffer autour de cette mission, mais aussi de certains personnages que nous rencontrons au fur et à mesure. Nous découvrons cela en même temps que Gwendolyn, vu que nous n’avons que son point vue. La fin arrive bien trop rapidement et abruptement, d’autant plus que le prologue fait tout pour attiser notre curiosité.