Les tegs, tome 1 : Mutagenèse (Mell 2.2)

Les tegs, tome 1 : Mutagenèse (Mell 2.2)

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Les tegs, tome 1 : Mutagenèse (Mell 2.2)


Auteur : Mell 2.2

Édition : Sharon Kena

Paru le : 10 Octobre 2016

420 pages numériques (ebook)

Thème : Dystopie

*******

Fait partie de la série

Les Tegs

 

Résumé :

« Ils sont devenus la lumière de ce monde plongé dans les ténèbres. Semblables aux sauterelles de l’apocalypse, nés dans le chaos. Ils sont de plus en plus nombreux, plus puissants, plus dangereux, mais surtout, plus en manque. Ils nous appellent les Fleurs et nous cultivent pour notre enivrant Pollen issu de nos phéromones mutantes. Nous sommes devenues une drogue. Leur drogue.

À travers trois histoires à des époques différentes, découvrez comment l’ombre colossale des Tegs s’est étendue pour écraser l’Humanité et comment celle-ci s’est défendue ou en a tiré profit.

Qu’est-ce qui définit vraiment un Homme d’un monstre ? L’aspect ? Ou les actes ?

La véritable menace porte-t-elle deux paires d’ailes en permanence… »

 

Yem, tome 1 : le grand rift (Gilles Milo-Vacéri)

Les tegs, tome 1 : Mutagenèse (Mell 2.2)

17/20

Je remercie les éditions Sharon Kena pour l'envoi de ce livre numérique dans le cadre de notre partenariat. J'aime beaucoup la couverture, l'auteur et le résumé me tentait énormément, c'est donc sans chercher plus loin que j'ai désiré le lire.


« Le libre arbitre.
Les hommes possèdent de loin le plus grand pouvoir que Dieu leur a donné. Grâce à cela, ils ont l’effroyable ambition de toucher du doigt le ciel. Mais celui-ci ne leur est pas ouvert. Ce qu’ils détiennent entre les mains ne leur suffit jamais, ils désirent toujours plus... »

Trois histoires sont ici inscrites sous forme d'archives. Dans la première nous prenons connaissance de ce que l'homme, les tegs ou autre sont capables de créer : des cyborgs. Ma-L en est une, la mémoire affaiblie par on ne sait pas encore quoi au départ. elle va découvrir le monde dans lequel elle vit depuis qu'elle a été sauvé d'un lieu inconnu. Les apparences sont souvent trompeuses, les alliés ne sont pas forcément ceux que l'on croit. Difficile de faire la part des choses lorsqu'un ennemi vous guette dans la nuit. Dans la seconde nous passons presque 60 ans pour nous retrouver de l'autre côté. Bons ou méchants, impossible de le dire. Nous suivons un médecin, teg de surcroit qui s'occupe de polliniser les femmes humaines. Sa conscience lui joue des tours, son éducation lui montre autre chose. Comment faire lorsque l'on sauve une humaine des griffes des siens ? Dans la dernière nous revenons en arrière, 7 ans avant la naissance du médecin et suivons les traces d'un personnage de la première archive. Les mêmes questions se forment dans les esprits, le comment vivre en ces temps de guerre ressort rapidement.

Un résumé très succinct de ma part du livre et de ces trois archives qui mènent le jeu. J'ai beaucoup aimé les deux premières archives. La première explique ce qui se passe par le biais de Ma-L qui découvre l'univers un peu comme un enfant qui vient de naître. Sauf que ce n'est pas le cas. Elle va se voir comme un monstre de par les yeux de certains de ces compagnons, mais par d'autre elle est juste Ma-L, une femme qui n'a pas eu la vie facile. Beaucoup de rebondissements et de découvertes, d'instants de vie volés et des personnages qui sont pour l'un d'entre eux un véritable savant fou. Ma-L, Flash, Lucas, Emy, Calyon, Deb, tous sont importants à plus ou moins grande échelle.


« j’ai été une femme avant de devenir un cyborg. Mon cœur demeure toujours celui d’une personne munie d’une conscience, je ne comporte pas d’intelligence artificielle. Je cours après mon humanité qu’on m’a arrachée au même titre que mes membres. Mon ami me montre qu’elle se trouve toujours à portée de main. Je ne l’ai pas perdue. Certes, il s’avère indéniable que je suis un cyborg, mais je possède quelque chose qui me caractérise et me démarque d’un ordinateur ou d’un androïde. Le libre arbitre. Je peux émettre des choix, prendre des décisions, agir selon mon envie et faire connaître mes propres volontés. La Tour ne fait que répondre aux commandes d’un logiciel et analyse en conséquence. »

La seconde archive m'a énormément plu également. 59 ans après les événements du premier. Découvrir ce qui se cache derrière ceux qui sont considérés comme des monstres et au final voir qu'ils sont tout autant des marionnettes que les humains, à moins que ce ne soit qu'un simple jeu ? Suivre ce médecin, Djoën O'donataa au coeur même de leur fameuse culture de "pollen" des humaines montre ce que lui pense réellement de tout cela. La rencontre avec S-A, une humaine qui allait se faire attraper par les tegs va changer son point de vue. Pas d'un seul coup non, il faut du temps pour cela. L'auteur laisse les mois passer pour Djoën afin qu'il s'acclimate à cette humaine et comprendre ce qu'ils peuvent s'apporter mutuellement ou non. S-A, surnommée Tessa est une vraie calamité, mais également une bouffée d'oxygène. Elle est très secrète, adore les gros mots, parler vulgaire et être une véritable tentation sur pattes. Le médecin va être complètement chamboulé, entre la "drogue" qu'il oublie de prendre, le fait qu'elle vit chez lui, son ex petite-amie qui met les pieds où il ne faut pas et les nombreuses caméras et micros qui traînent partout. qui peut avoir confiance en qui ?
« – Bon, tu vas arrêter de parler comme ça, m’agacé-je.
– Tu vas faire quoi sinon ? Tu vas me mettre la fessée ?
Ne me tente pas ! songé-je.
– Non mais c’est lourd à force, me plains-je.
– Oh ! Pauvre chou ! Bon sinon, c’est quoi ton nom du c… mec ?
– Djoën O’donataa, je suis médecin de culture.
– C’est bien ma veine, ça, de me faire sauver par une saloperie de docteur, ronchonne-t-elle.
– Bon, et toi ?
– Je m’appelle S-A.
– Essa ? C’est bizarre comme nom.
– C’est parce que je suis la dix-neuvième, comme le S dans l’alphabet, à être née durant l’année des A. Une lettre, c’est mieux qu’un numéro, même si toi et tes p… tes collègues, ça ne vous choque pas d’en donner aux pauvres filles que vous exploitez. »

    La dernière partie n'est pas ma préférée, pour autant je l'ai apprécié, mais pas autant que les deux premières. Nous sommes en présence de Naël, un homme qui passe dans la seconde archive. Il est plus jeune bien entendu, car nous sommes 7 ans avant la naissance du doc, mais une vingtaine d'années après les événements du premier. Le trop de romance dans cette partie m'a déplu. Par contre tout le reste donne encore plus de détails à l'histoire en elle-même. Se reconstruire n'est jamais une chose facile et savoir se reposer sur une personne, être en toute confiance n'est jamais évident. La façon dont la peur s'ancre en chacun est perceptible.  
« Mon ange blanc m’effleure la joue d’un doux revers. Puis il m’embrasse avec la même passion grisante que lors de nos tous premiers baisers. Le chasseur qu’il est dépose les armes et sa proie que je suis se montre déterminée à le suivre quoi qu’il advienne. »     J'ai aimé la façon dont l'auteur a découpé le livre, mis en place des personnages différents pour montrer ce qu'ils voient. Tout s'imbrique, même si des questions subsistent. L'histoire est originale tout comme la représentation des tegs et ce qu'il peut arriver. A la fin de ce premier tome, une nouvelle espèce, race peu importe semble montrer le bout de son nez. En même temps je suis sur que c'est celui qui est dans le deux. Mais passons ce détail. Le monde dans lequel les humains, enfin ceux qui restent est instable. Tout le monde, humains ou non veulent absolument être le "roi du monde". tout est bon pour écraser les autres. Les réseaux clandestins sont de plus en plus nombreux, les rébellions aussi de toute part.     Les fins de chaque archives sont surprenantes, tout comme les contenus. Grâce à l'humour dans certains passages, cela devient plus légers, tandis que d'autres sont parfaitement sombres. Plus nous avançons dans le récit et plus nous découvrons ce qui se passe réellement. Les enjeux sont si grands, l'humanité se réduit à peau de chagrin. Même si certains personnages sont trop évidents, certains comme Naël ou Flash ont des attitudes qui font penser à une peur de se faire rejeter et nous n'en sommes pas loin. D'autres ont des réactions humaines même s'ils ne le sont pas. J'ai aimé également le fait de ne pas avoir tout dans l'ordre chronologique - sadique oui, surement - mais à la fin de la seconde partie, je me suis posée des questions et hop, elles sont en partie résolues avec la dernière partie.
En conclusion, j'ai beaucoup aimé ce premier tome. Une histoire limite apocalyptique, où la confiance est une denrée extrêmement rare. Les complots, les trahisons, amènent des scènes plus ou moins dures. Les événements s'enchaînent, les besoins des uns complètent les autres et les personnages sont "vivants". La fin est horrible, car nous en apprenons plus sur la plupart d'entre eux et certains ne s'en sortent pas indemne. J'ai hâte de connaître la suite !

L’histoire qui nous est racontée, dès le début est captivante, surtout du fait que ça se passe à bord de l’Empress of Irelan, ce paquebot qui fit naufrage dans les eaux du Fleuve Saint-Laurent. De partir d’un fait historique véridique pour créer une histoire de fiction, c’est une bonne manière de donner de la crédibilité à ce qu’on raconte. De plus, l’auteure, avec sa plume très raffinée et imagée, nous permet de nous faire sentir partie intégrante des événements et nous donne le goût suivre avec beaucoup d’intérêt la tentative de survie de ces passagers alors que le bateau s’enfonce vers les fonds du Fleuve.

Ensuite, le roman se transforme en histoire d’amour, en jeu du chat et de la souris, en poursuite entre les bons et les méchants, bref, une série de moments d’actions et quelques moments de frissons d’excitations s’alternent dans ce roman d’amour, alors que le destin d’Adélaïde semble se lier constamment à celui de Aidan, qu’elle ne cesse de trouver sur son chemin de vie.

Personnellement, le personnage de Adélaïde ne me rejoint pas beaucoup, avec sa candeur, sa fragilité, sa naïveté, sa peur constante de ce que les gens vont penser. Mais il est certain aussi que ce livre se passe au début des 1900, alors que les riches Britanniques sont tous empreints de convenances, de règles à suivre, de gestes de bonnes séances à respecter, ce dont l’auteure décrit très bien dans son histoire, et cela fait en sorte que l’on peut se transposer dans cette époque et voir comment les gens y vivaient et comprendre le comportement d’Adélaïde.

Ce roman est des plus intéressants à lire d’abord et avant tout, à cause de la plume de Sonia Alain. Elle sait créer dans l’imaginaire de son lectorat,  un savant mélange de scènes chaudes et érotiques,  tout en ajoutant des moments d’actions captivants. Ainsi, le lecteur passe par une belle gamme d’émotions à tout moment, si bien qu’il ne s’ennuie jamais pendant ses plus de 450 pages. Avec une imagination aussi fertile, on peut penser que le tome 2 La trahison, qui est également en librairie, sera tout aussi palpitant que le premier.

- See more at: http://info-culture.biz/2016/10/31/damour-et-de-haine-tome-1/#.WCXI7ckY-M8

L’histoire qui nous est racontée, dès le début est captivante, surtout du fait que ça se passe à bord de l’Empress of Irelan, ce paquebot qui fit naufrage dans les eaux du Fleuve Saint-Laurent. De partir d’un fait historique véridique pour créer une histoire de fiction, c’est une bonne manière de donner de la crédibilité à ce qu’on raconte. De plus, l’auteure, avec sa plume très raffinée et imagée, nous permet de nous faire sentir partie intégrante des événements et nous donne le goût suivre avec beaucoup d’intérêt la tentative de survie de ces passagers alors que le bateau s’enfonce vers les fonds du Fleuve.

Ensuite, le roman se transforme en histoire d’amour, en jeu du chat et de la souris, en poursuite entre les bons et les méchants, bref, une série de moments d’actions et quelques moments de frissons d’excitations s’alternent dans ce roman d’amour, alors que le destin d’Adélaïde semble se lier constamment à celui de Aidan, qu’elle ne cesse de trouver sur son chemin de vie.

Personnellement, le personnage de Adélaïde ne me rejoint pas beaucoup, avec sa candeur, sa fragilité, sa naïveté, sa peur constante de ce que les gens vont penser. Mais il est certain aussi que ce livre se passe au début des 1900, alors que les riches Britanniques sont tous empreints de convenances, de règles à suivre, de gestes de bonnes séances à respecter, ce dont l’auteure décrit très bien dans son histoire, et cela fait en sorte que l’on peut se transposer dans cette époque et voir comment les gens y vivaient et comprendre le comportement d’Adélaïde.

Ce roman est des plus intéressants à lire d’abord et avant tout, à cause de la plume de Sonia Alain. Elle sait créer dans l’imaginaire de son lectorat,  un savant mélange de scènes chaudes et érotiques,  tout en ajoutant des moments d’actions captivants. Ainsi, le lecteur passe par une belle gamme d’émotions à tout moment, si bien qu’il ne s’ennuie jamais pendant ses plus de 450 pages. Avec une imagination aussi fertile, on peut penser que le tome 2 La trahison, qui est également en librairie, sera tout aussi palpitant que le premier.

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L’histoire qui nous est racontée, dès le début est captivante, surtout du fait que ça se passe à bord de l’Empress of Irelan, ce paquebot qui fit naufrage dans les eaux du Fleuve Saint-Laurent. De partir d’un fait historique véridique pour créer une histoire de fiction, c’est une bonne manière de donner de la crédibilité à ce qu’on raconte. De plus, l’auteure, avec sa plume très raffinée et imagée, nous permet de nous faire sentir partie intégrante des événements et nous donne le goût suivre avec beaucoup d’intérêt la tentative de survie de ces passagers alors que le bateau s’enfonce vers les fonds du Fleuve.

Ensuite, le roman se transforme en histoire d’amour, en jeu du chat et de la souris, en poursuite entre les bons et les méchants, bref, une série de moments d’actions et quelques moments de frissons d’excitations s’alternent dans ce roman d’amour, alors que le destin d’Adélaïde semble se lier constamment à celui de Aidan, qu’elle ne cesse de trouver sur son chemin de vie.

Personnellement, le personnage de Adélaïde ne me rejoint pas beaucoup, avec sa candeur, sa fragilité, sa naïveté, sa peur constante de ce que les gens vont penser. Mais il est certain aussi que ce livre se passe au début des 1900, alors que les riches Britanniques sont tous empreints de convenances, de règles à suivre, de gestes de bonnes séances à respecter, ce dont l’auteure décrit très bien dans son histoire, et cela fait en sorte que l’on peut se transposer dans cette époque et voir comment les gens y vivaient et comprendre le comportement d’Adélaïde.

Ce roman est des plus intéressants à lire d’abord et avant tout, à cause de la plume de Sonia Alain. Elle sait créer dans l’imaginaire de son lectorat,  un savant mélange de scènes chaudes et érotiques,  tout en ajoutant des moments d’actions captivants. Ainsi, le lecteur passe par une belle gamme d’émotions à tout moment, si bien qu’il ne s’ennuie jamais pendant ses plus de 450 pages. Avec une imagination aussi fertile, on peut penser que le tome 2 La trahison, qui est également en librairie, sera tout aussi palpitant que le premier.

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L’histoire qui nous est racontée, dès le début est captivante, surtout du fait que ça se passe à bord de l’Empress of Irelan, ce paquebot qui fit naufrage dans les eaux du Fleuve Saint-Laurent. De partir d’un fait historique véridique pour créer une histoire de fiction, c’est une bonne manière de donner de la crédibilité à ce qu’on raconte. De plus, l’auteure, avec sa plume très raffinée et imagée, nous permet de nous faire sentir partie intégrante des événements et nous donne le goût suivre avec beaucoup d’intérêt la tentative de survie de ces passagers alors que le bateau s’enfonce vers les fonds du Fleuve.

Ensuite, le roman se transforme en histoire d’amour, en jeu du chat et de la souris, en poursuite entre les bons et les méchants, bref, une série de moments d’actions et quelques moments de frissons d’excitations s’alternent dans ce roman d’amour, alors que le destin d’Adélaïde semble se lier constamment à celui de Aidan, qu’elle ne cesse de trouver sur son chemin de vie.

Personnellement, le personnage de Adélaïde ne me rejoint pas beaucoup, avec sa candeur, sa fragilité, sa naïveté, sa peur constante de ce que les gens vont penser. Mais il est certain aussi que ce livre se passe au début des 1900, alors que les riches Britanniques sont tous empreints de convenances, de règles à suivre, de gestes de bonnes séances à respecter, ce dont l’auteure décrit très bien dans son histoire, et cela fait en sorte que l’on peut se transposer dans cette époque et voir comment les gens y vivaient et comprendre le comportement d’Adélaïde.

Ce roman est des plus intéressants à lire d’abord et avant tout, à cause de la plume de Sonia Alain. Elle sait créer dans l’imaginaire de son lectorat,  un savant mélange de scènes chaudes et érotiques,  tout en ajoutant des moments d’actions captivants. Ainsi, le lecteur passe par une belle gamme d’émotions à tout moment, si bien qu’il ne s’ennuie jamais pendant ses plus de 450 pages. Avec une imagination aussi fertile, on peut penser que le tome 2 La trahison, qui est également en librairie, sera tout aussi palpitant que le premier.

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