Bonjour,
Merci à Anne Dejardin pour sa confiance, mais aussi pour ses gentils petits mots sur mon blog. Et oui, tout le monde sait que les auteurs apprécient les commentaires mais les blogueurs aussi ont parfois besoin de reconnaissance et cette dernière est d’autant plus appréciée lorsqu’elle vient d’une auteure
Bon j’arrête de digresser (c’est une mauvaise habitude que j’ai dans mes chroniques…mais je me dis que ça en fait tout le charme :P)…je vois bien que vous vous impatientez !
4ème de couverture C’est l’histoire d’une vie de femme, appréhendée par ce que l’auteur en découvre à travers son écriture comme si elle ne comprenait sa vie réelle avec ses moments drôles, tendres, durs qu’en osant les regarder seulement une fois qu’elle en a fait de l’écriture. Comment se débrouille-t-on avec la vie réelle quand on ne vit qu’au travers du prisme de l’écriture ? Que fait-on des chocs et des bouleversements que la vie nous impose quand on n’est pas doué ou armé pour se coltiner le quotidien ? C’est le chemin que l’auteur vous propose de suivre en sa compagnie et selon sa vision du monde tour à tour ironique, acérée ou idyllique, à moins que ce ne soit un mélange des trois, à une période qui n’est pas simple dans la vie d’une femme, lorsque celle-ci se retrouve sans âge, hors du temps, plus jeune certes mais pas encore vieille… Mon avis Pour les adeptes de l’auto-En réponse à cela, je dirais que oui, je revendique le caractère fictif, par le choix de l’auteure de présenter une vue particulièrement biaisée de sa vie avec l’objectif d’amuser et de se moquer d’elle-même. Je m’en explique d’ailleurs dans le chapitre des remerciements, où je (l’auteure) dis, (pas le « je » du roman), avant dernière page, p191 :
« Je voudrais précise que ce récit journal est une fiction comme toute vérité que l’on croit capter un instant à travers ses mille facettes, qui brillent tout à tour, miroitent et s’éteignent, celle décrite ici est la facette que l’espace d’un instant j’ai cru être le reflet de ma réalité avec une déformation certaine induite par ce qui m’animait souvent : l’envie de vous amuser. »
Pirouette, me direz-vous, Magali, mais quand on est amuseur publique avec sa propre vie, on a bien droit aux pirouettes, non ?
ConclusionComment vous dire ? Le fait d’être dans l’incapacité de structurer cette chronique et mes limites dans ma capacité à laisser les mots parler d’eux-même (eh ! oui c’est une dure réalité à accepter…je ne suis qu’une petite chroniqueuse – mais je le vis bien ) font que je ne sais pas comment terminer cet article.
Je vous laisse donc découvrir autant la plume que la personne qui « se cachent » derrière ce roman qui pour moi ne correspond à aucune de mes lectures antérieures.