Évidemment, la scénariste G.Willow Wilson et Kellie Thompson (en renfort aux dialogues) mettent l'accent sur les relations qui unissent les personnages. Nous sommes entre femmes, alors moins de testostérones au menu, et de petites bisbilles liées aux personnalités fort divergentes (Miss Hulk et Medusa n'ont pas exactement des caractères identiques) ou des élans amicaux et des bons sentiments, comme Nico Minoru, toujours prête à aider, particulièrement la dénommée Singularity. Captain Marvel (Carol Danvers) est un peu la meneuse paramilitaire du groupe, elle qui officie désormais depuis la base orbitale d'Alpha Flight, dont elle assume le commandement. Nous avons là une lecture typique de nos années décompression. Tenir quatre épisodes avec ce sujet, sans faire intervenir d'autres acteurs (actrices) extérieures, sans complexifier la trame, sans lancer diverses pistes secondaires, il y a vingt trente ans, cela aurait été totalement impossible. L'ensemble aurait été raconté en 20/22 pages, à coup sûr. Ce n'est ni un bien, ni un mal, juste une constatation de comment a changé la narration, depuis que je dévore du comic-book en quantité irraisonnable.
Évidemment, la scénariste G.Willow Wilson et Kellie Thompson (en renfort aux dialogues) mettent l'accent sur les relations qui unissent les personnages. Nous sommes entre femmes, alors moins de testostérones au menu, et de petites bisbilles liées aux personnalités fort divergentes (Miss Hulk et Medusa n'ont pas exactement des caractères identiques) ou des élans amicaux et des bons sentiments, comme Nico Minoru, toujours prête à aider, particulièrement la dénommée Singularity. Captain Marvel (Carol Danvers) est un peu la meneuse paramilitaire du groupe, elle qui officie désormais depuis la base orbitale d'Alpha Flight, dont elle assume le commandement. Nous avons là une lecture typique de nos années décompression. Tenir quatre épisodes avec ce sujet, sans faire intervenir d'autres acteurs (actrices) extérieures, sans complexifier la trame, sans lancer diverses pistes secondaires, il y a vingt trente ans, cela aurait été totalement impossible. L'ensemble aurait été raconté en 20/22 pages, à coup sûr. Ce n'est ni un bien, ni un mal, juste une constatation de comment a changé la narration, depuis que je dévore du comic-book en quantité irraisonnable.