Green Lantern cela signifie aussi ... Green Arrow. On retrouve les deux compères au moment où Mongul est de retour, avec une plante qui fusionne avec son hôte de passage, et se comporte comme un dangereux parasite hallucinogène. Les héros succombent, et vivent une sorte d'idylle illusoire, une vie de famille possible et alternative, qui trahit les désirs et les angoisses de chacun. Le coté "buddy comics" est prolongé le temps d'une association avec Batman, qui convoque Hal pour un affrontement face au Tattoed Man, et en profite pour tester les pouvoirs de l'anneau vert, et ce qu'il pourrait en faire avec. Mais même le Dark Knight n'est pas prêt à en gérer la puissance, et ce qui en découle logiquement. Mais ceci aussi sera exploité par la suite. Enfin nous retrouvons Green Lantern aux prises avec de sérieux problèmes de juridiction. S'il est le patrouileur attitré d'une grande partie du cosmos (il a un secteur spatial à lui seul) sur Terre il faut respecter les frontières nationales, et l'espace aérien. Surtout quand il s'agit des frontières russes. En parallèle, la réapparition de Tomar Tu, que l'on croyait mort au terme de la saga Emerald Dawn implique la possibilité que les autres Lantern considérés comme décédés soient encore en vie, quelque part, retenus contre leur volonté. Pour Hal Jordan, une opportunité de rachat définitif, après avoir perdu la boule et semé mort et destruction en tant que Parallax... Que des artistes d'exception au menu, puisqu'outre Pacheco, nous avons le plaisir de dévorer des pages d'Ethan Van Sciver, Ivan Reis, ou Jesus Merino. Bref, du beau monde au balcon pour cette sortie absolument recommandée à ceux qui n'auraient pas acheté la série d'albums précédents Geoff Johns présente Green Lantern, qui du coup fait un peu doublon...
Green Lantern cela signifie aussi ... Green Arrow. On retrouve les deux compères au moment où Mongul est de retour, avec une plante qui fusionne avec son hôte de passage, et se comporte comme un dangereux parasite hallucinogène. Les héros succombent, et vivent une sorte d'idylle illusoire, une vie de famille possible et alternative, qui trahit les désirs et les angoisses de chacun. Le coté "buddy comics" est prolongé le temps d'une association avec Batman, qui convoque Hal pour un affrontement face au Tattoed Man, et en profite pour tester les pouvoirs de l'anneau vert, et ce qu'il pourrait en faire avec. Mais même le Dark Knight n'est pas prêt à en gérer la puissance, et ce qui en découle logiquement. Mais ceci aussi sera exploité par la suite. Enfin nous retrouvons Green Lantern aux prises avec de sérieux problèmes de juridiction. S'il est le patrouileur attitré d'une grande partie du cosmos (il a un secteur spatial à lui seul) sur Terre il faut respecter les frontières nationales, et l'espace aérien. Surtout quand il s'agit des frontières russes. En parallèle, la réapparition de Tomar Tu, que l'on croyait mort au terme de la saga Emerald Dawn implique la possibilité que les autres Lantern considérés comme décédés soient encore en vie, quelque part, retenus contre leur volonté. Pour Hal Jordan, une opportunité de rachat définitif, après avoir perdu la boule et semé mort et destruction en tant que Parallax... Que des artistes d'exception au menu, puisqu'outre Pacheco, nous avons le plaisir de dévorer des pages d'Ethan Van Sciver, Ivan Reis, ou Jesus Merino. Bref, du beau monde au balcon pour cette sortie absolument recommandée à ceux qui n'auraient pas acheté la série d'albums précédents Geoff Johns présente Green Lantern, qui du coup fait un peu doublon...