« Si la richesse était limitée, l’amour était inépuisable. »
Je ne sais pas… Je ne sais pas quoi penser de ce livre. Je ne peux pas vous dire si j’ai aimé, si je n’ai pas aimé. Je ne peux même pas vous dire si je suis mitigée. C’est pour vous dire à quel point ce livre m’a laissée perplexe.
C’est un livre de science-fiction. J’aime plutôt cela, la science-fiction : lire des histoires qui se passent dans le futur avec la haute technologie, c’est plaisant ! Après, je dois bien avouer que ce n’est pas un genre littéraire que je lis souvent, donc forcément quand j’en lis, je ne sais jamais à quoi m’attendre.
« Trafiquants d’âmes », c’est l’histoire – pour moi – de trois personnages principaux : Rag Leg, Rom et Monk. Ils vivent tous les trois à la même époque 1939 – enfin dans ces eaux-là – mais ils n’ont pas la même réalité du monde qui les entourent. C’est assez compliqué à résumer en fait. Le cadre spatio-temporel est la deuxième guerre mondiale, c’est vraiment la ligne conductrice du livre. Et, je crois pour pas se perdre dans ce livre, il faut bien le garder à l’esprit !
Parce que oui, dans ce livre, on peut se perdre si on n’est pas un minimum dedans : on peut arriver à un stade où on ne sait plus qui dit quoi, qui pense quoi… C’est perturbant. Dans « Trafiquants d’âmes », il y a aussi beaucoup de détails, il faut faire attention à tout ce qui se passe et surtout à tout ce qui est décrit. Car là, aussi, on peut se perdre… Trop de détails tuent les détails.
Mais peut-être que c’est le but de l’auteur de nous laisser perplexe à la fin du livre ? Peut-être veut-il nous montrer que ce n’est pas parce que l’on vit à une même époque que l’on a tous la même réalité du monde qui nous entoure. À méditer.
Ma note 4.5/5
PS : Merci à Lune Écarlate pour l’envoie du livre et pour ce service presse. Bienvenue dans l’aventure Bookscritics !