Résumé :
« Le cœur de Simon migrait dans un autre endroit du pays, ses reins, son foie et ses poumons gagnaient d’autres provinces, ils filaient vers d’autres corps. »
Réparer les vivants est le roman d’une transplantation cardiaque. Telle une chanson de gestes, il tisse les présences et les espaces, les voix et les actes qui vont se relayer en vingt-quatre heures exactement. Roman de tension et de patience, d’accélérations paniques et de pauses méditatives, il trace une aventure métaphysique, à la fois collective et intime, où le cœur, au-delà de sa fonction organique, demeure le siège des affects et le symbole de l’amour.
Mon avis :
Simon a 19 ans. Sa vie, c'est le surf. Du genre à se lever en pleine nuit pour aller planche sous le bras sur la cote.
Et puis, au petit matin, c'est l'heure de rentrer. Il est avec ses potes. Sur la route. On ne sait trop comment, c'est l'accident. Simon n'avait pas de ceinture.
Alors, il faut se décider urgemment pour un don d'organes. Comment savoir ce que pensait sur le sujet un gamin de même pas 20 ans ?
J'avoue, j'ai rien compris. 95% du bouquin, c'est l'accident, la mort de Simon.
L'opération pour les transplantation arrive à la toute fin du livre.
Et du coup par moments ça peut être assez lourd. Barbant, même.
Mais l'histoire est magnifique.
Par contre, j'ai trouvé l'écriture hyper indigeste. Les phrases interminables qui s'enchaînent. Les dialogues plantés au milieu comme ça. Et puis on passe du coq à l'âne en plein milieu d'une phrase. Une longue, très longue parenthèse et on passe à autre chose. On perd le fil, on ne sait plus comment on est arrivé là, ni ce qu'on lisait 30 secondes avant. C'est assez insupportable en fait.
Et pourtant c'était aussi très poétique
« Le cœur de Simon migrait dans un autre endroit du pays, ses reins, son foie et ses poumons gagnaient d’autres provinces, ils filaient vers d’autres corps. »
Réparer les vivants est le roman d’une transplantation cardiaque. Telle une chanson de gestes, il tisse les présences et les espaces, les voix et les actes qui vont se relayer en vingt-quatre heures exactement. Roman de tension et de patience, d’accélérations paniques et de pauses méditatives, il trace une aventure métaphysique, à la fois collective et intime, où le cœur, au-delà de sa fonction organique, demeure le siège des affects et le symbole de l’amour.
Mon avis :
Simon a 19 ans. Sa vie, c'est le surf. Du genre à se lever en pleine nuit pour aller planche sous le bras sur la cote.
Et puis, au petit matin, c'est l'heure de rentrer. Il est avec ses potes. Sur la route. On ne sait trop comment, c'est l'accident. Simon n'avait pas de ceinture.
Alors, il faut se décider urgemment pour un don d'organes. Comment savoir ce que pensait sur le sujet un gamin de même pas 20 ans ?
J'avoue, j'ai rien compris. 95% du bouquin, c'est l'accident, la mort de Simon.
L'opération pour les transplantation arrive à la toute fin du livre.
Et du coup par moments ça peut être assez lourd. Barbant, même.
Mais l'histoire est magnifique.
Par contre, j'ai trouvé l'écriture hyper indigeste. Les phrases interminables qui s'enchaînent. Les dialogues plantés au milieu comme ça. Et puis on passe du coq à l'âne en plein milieu d'une phrase. Une longue, très longue parenthèse et on passe à autre chose. On perd le fil, on ne sait plus comment on est arrivé là, ni ce qu'on lisait 30 secondes avant. C'est assez insupportable en fait.
Et pourtant c'était aussi très poétique