J'étais littéralement tombée sous le charme de Kenneth Cook, découverts avec l'un de ses excellents recueils de nouvelles "animalières", La vengeance du wombat, en l'occurrence, à pleurer de rire au sens littéral du terme. On est ici sur un style radicalement différent. Le court roman est bien plus noir, mais on retrouve les fondamentaux : un humour mordant, l'exploration du fin fond du bush australien, et le sentiment que Kenneth Cook s'amuse énormément, et seplaît à balader son lecteur, sans se départir de son attachement aux loosers.
J'étais littéralement tombée sous le charme de Kenneth Cook, découverts avec l'un de ses excellents recueils de nouvelles "animalières", La vengeance du wombat, en l'occurrence, à pleurer de rire au sens littéral du terme. On est ici sur un style radicalement différent. Le court roman est bien plus noir, mais on retrouve les fondamentaux : un humour mordant, l'exploration du fin fond du bush australien, et le sentiment que Kenneth Cook s'amuse énormément, et seplaît à balader son lecteur, sans se départir de son attachement aux loosers.