J’avais de toute façon prévu d’acheter son nouveau bouquin, je vous livre ici son message, avec grand plaisir.
Vous seriez bien aimables (de parler d’un livre)
30 janvier 2017Je vais droit au but, car ceci est un appel. Je publie le 20 – ou le 22 – février un livre dont le titre est Ce qui compte vraiment (Les liens qui libèrent). Je vais essayer de vous mettre sa couverture en PDF, de manière que vous puissiez vous rendre compte. J’ai un besoin aussi évident qu’essentiel de votre aide, pour de multiples raisons. Ce livre sort en pleine campagne présidentielle, dont il se moque éperdument, et la plupart des journaux n’en ont, d’avance, rien à faire. Je ne vous demanderai jamais de me faire confiance a priori, mais vous pouvez, et je crois que vous devez faire circuler la nouvelle de sa parution.
J’ai ouvert ce blog il y aura dix ans cet été, et j’ai bien dû y écrire 1500 articles, ce qui n’est pas rien, je pense que vous le savez. Je l’ai fait bénévolement bien sûr, à la réserve près qu’il m’a régulièrement coûté des sous. Non seulement je ne me plains pas, mais je dois dire que je suis pleinement satisfait d’avoir apporté informations et jugements sur l’infernale crise écologique dans laquelle nous sommes tous plongés. Je ne crois pas que mes lecteurs ont été volés, et comme ils sont – vous êtes – des milliers, je m’avance et vous dis : donnez-moi un coup de main. C’est à votre portée, et si vous avez pris intérêt et plaisir à me retrouver ici ces dernières années – et ce n’est pas fini ! -, eh bien faites usage de ce que je pourrais appeler un contre-don. Recopiez et diffusez ce petit mot, ou mieux encore écrivez-en un à votre manière, que vous enverrez à vos amis et connaissances. Je suis très certain que, de votre engagement, peut naître un succès d’édition.
Pourquoi ? Mais parce que ce livre est un contrepoint, et même un contre-pied à tous les discours politiques en cours. Lesquels ne parlent ni ne parleront de notre planète en déroute. À l’opposé de ce que j’écris généralement, ce livre n’est pas vraiment de dénonciation. Je l’ai voulu non optimiste, car c’était au-dessus de mes forces, mais en tout cas tourné vers un avenir possible pour tous. Ici, ailleurs, humains, animaux, plantes, mers et rivières. J’y passe en revue cinq questions à mes yeux décisives – le sort des campagnes en France; la restauration des écosystèmes dans le monde; la situation des mers et de la pêche; le si grand malheur des eaux vives; la cohabitation avec ces Autres si proches que sont les animaux.
À chaque fois, je prétends démontrer qu’il y a une voie, un espoir véritable, une faille dans le grand mur par laquelle nous pourrions nous faufiler. Ainsi que vous verrez peut-être, certains constats sont difficiles à contester. Et c’est bien pourquoi ce monde malade n’a aucunement l’intention d’en parler. Mais vous, mes amis, mes lecteurs, et même mes critiques ? Ne croyez-vous venu le temps de dire enfin ce que nous pensons ? Ce que nous voulons ? Ce que nous devons, envers et malgré toutes les forces de la destruction ?
Ce que vous pouvez faire peut vous sembler sans importance. Moi, je suis convaincu que j’ai besoin du moindre geste du dernier d’entre vous. Au fait, votre présence m’aide constamment à faire face. Car je crois que je fais face.
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