J’attendais le challenge #Readsmallbooks avec impatience ! C’est un challenge lancé sur instagram par l’adorable @ladealeusedeconneries. J’adore ce challenge car il me permet en un week-end de bien baisser ma PAL. Ca déculpabilise aussi quand on veut faire des achats :p
Le but est simple : lire le plus de petits romans de moins de 300 pages du vendredi 10 février au lundi 13 février minuit. Alors qui est partant ?
Ci-dessous vous trouverez ma PAL dans laquelle je piocherai ! Ca va me faire du bien de lire un peu de contemporain, j’ai mis ce genre de côté ces derniers mois…
Celle dont j’ai toujours rêvé de Meredith Russo
Amanda Hardy arrive dans un nouveau lycée. Comme beaucoup, elle souhaite avant tout s’intégrer. Mais malgré sa popularité, un secret l’empêche de s’ouvrir vraiment aux autres.
Sa rencontre avec Grant remet tout en question. Il est le premier garçon qui parvient à lui faire baisser sa garde. Alors qu’ils passent de plus en plus de temps ensemble, Amanda comprend qu’en se protégeant ainsi, elle passe à côté de sa vie. Elle sait qu’elle doit se faire violence et lui révéler qui elle est vraiment, mais elle est terrifiée à l’idée que cela le fasse fuir…
Indécent de Colleen Hoover
Pour surmonter le brusque décès de son père, Layken, âgée de 18 ans, part s’installer, avec sa mère et son frère, dans le Michigan. Sa famille la considère comme un roc, mais en son for intérieur, elle est désespérée. Bientôt, une rencontre va tout changer : celle de Will, son voisin passionnée de poésie, un être lumineux, patient et protecteur, qui partage beaucoup d’intérêts communs avec Lake, peut-être même trop…
Après un premier rendez-vous exceptionnel, le quotidien reprend ses droits et amène avec lui un obstacle infranchissable. Les circonstances auront-elles raison de leur attirance hors du commun?
Le silence de Mélodie de Sharon M. Draper
Quand j’ai eu deux ans, tous mes souvenirs avaient des mots, et tous mes mots avaient une signification.
Mais seulement dans ma tête.
Je n’ai jamais prononcé un seul mot. J’ai bientôt onze ans.
Calendar girl Février d’Audrey Carlan
Tome 2 donc pas de quatrième pour ne pas spoiler. 🙂
Puisque rien ne dure de Laurence Tardieu
Je meurs voilà ce qu’elle m’écrit Vincent je meurs viens me voir viens me revoir une dernière fois que je te voie que je te touche que je t’entende viens me revoir Vincent je meurs. Et au bas de la feuille, en tout petit, presque illisible, son prénom, Geneviève, tracé lui aussi au crayon à papier, comme le reste de la lettre, de la même écriture tremblante, défaillante, si ce n’avait pas été ces mots-là on aurait pu croire à l’écriture d’un enfant, on aurait pu sourire, froisser la feuille, la jeter à la poubelle et l’oublier ; mais non, ce n’est pas un enfant, c’est Geneviève qui meurt.
Je suis l’homme le plus beau de Cyril Massarotto
Cet homme est une légende. Pourtant, il rêve de disparaître. Et quand il rencontre enfin sa raison de vivre, il est peut-être déjà trop tard…
« Aussi loin que je me souvienne, j ai toujours été beau. Je dis beau, mais dans la bouche des gens j entends plutôt canon, magnifique, sublime, incroyable. Plus généralement, en me voyant, les gens disent : « Waouh ! »
Ces mots, je les ai entendus dans toutes les langues, sur tous les tons. On me les a dits en pleurant, en hurlant, ou juste avant de s¹évanouir. On me les a dits à voix basse, sans oser me regarder, ou en écarquillant grand les sourcils.
Je suis l Homme le plus beau du monde.
Bien sûr, je suis malheureux. »
La véritable histoire des contes de fées de Julie Grêde
Et si Walt (de là-haut) avait décidé de passer en revue ses longs métrages inspirés de contes et de les comparer aux œuvres originales…
Serait-il obligé de conclure que les contes cruels écrits à l’origine pour préparer les enfants à un monde difficile sont devenus, sous son regard, des contes de fées pour endormir nos enfants ?
Dans les « vrais contes », ceux dont s’inspirent régulièrement Walt et ses successeurs, les happy ends ne sont pas du tout légion. Les morales sont sans concession, cruelles.
Saviez-vous que…
– Chez Andersen, la petite sirène n’épouse pas le prince Éric ? Délaissée, elle devient écume plutôt que de sacrifier celui qu’elle aime.
– La Blanche-Neige du conte n’a que 7 ans et que si sa belle-mère désire ses poumons, et non son coeur, c’est pour s’en goinfrer ?
– La Belle au Bois dormant n’est pas embrassée, mais violée par son prince dans son sommeil ? De cette « union » naîtront des jumeaux… que sa belle-mère cannibale tentera de dévorer.
– Les belles-soeurs de Cendrillon n’hésitent pas à se mutiler les pieds à l’aide d’un couteau de boucher afin de les faire entrer dans la pantoufle de vair ?
– Pinocchio est loin d’être un gentil petit garçon ? Il laisse Gepetto se faire emprisonner pour maltraitance et écrabouille Jiminy Cricket à l’aide d’un maillet…
Et non, désolé, ils ne vécurent pas heureux jusqu’à la fin des temps !
Assia, Mama est là de Meriam Rhaeim
» Ceci est un livre pour toi, mon Assia. Quand tu seras grande, il faudra que tu saches. Que tu saches que tu ne vois pas ton père car celui-ci a choisi la voie de la déraison, et que je ne peux vivre sans toi. » Meriam s’est séparée de son mari en 2012. Celui-ci a été embrigadé par le Front al-Nosra, groupe djihadiste en lutte contre le régime de Bachar al-Assad. Elle l’a vu se radicaliser et embrasser les idéaux d’un islam extrémiste qui rejette sa position de femme et surtout exclut sa fille de son enfance : Assia ne doit pas jouer avec les autres enfants ni écouter de musique, quant à Meriam, elle est une mécréante car elle veut conduire et travailler. Cette histoire de séparation aurait pu se limiter à des questions d’organisation de garde alternée, mais l’esprit du djihad en veut plus. Le père d’Assia l’emmène loin de sa mère sur une terre d’insécurité : » Je préfère qu’Assia meure en martyre plutôt qu’elle revienne en France « , annonce-t-il un jour à Meriam au téléphone alors qu’elle entend en arrière-plan les pleurs de sa fille l’implorant : » Mama, mama ! » Vivre sans Assia, ce n’est pas vivre. Quitte à perdre la vie, autant que ce soit pour une cause qui en vaut la peine. Fin août, Meriam décide, sans l’aide des autorités, de partir chercher son enfant. En dépit des mises en garde des autorités françaises sur la dangerosité d’un tel périple, elle se rend finalement avec son frère en Turquie où elle réussit à convaincre son ex-mari de la rencontrer dans un hôtel à Hatay, près de la frontière syrienne. Le 2 septembre, les autorités turques rendent Assia à sa mère. Elles ont rejoint toutes les deux le sol français.
Les mensonges ne meurent jamais de Séverine De La Croix
Une femme qui disparaît.
Un couple en danger.
Les terribles secrets d’une famille.
Un compte à rebours implacable.