« Ton cœur qu se brisait et notre désir d’atteindre l’absolu dans la création et ces montagnes de plus en plus élevées… Quête folle. Quête fatale. »
Deuxième masse critique de Babelio et deuxième déception. Je suis déçue par ce livre, je m’attendais tellement à autre chose. Je m’attendais à une romance ou à une histoire érotique : c’est ce à quoi me fait penser le titre du livre en tous cas « N’oublions jamais les caresses ». Un titre pourtant prometteur. Un titre qui me donnait envie de le lire !
Et au lieu de cela… On tourne en rond. On tourne en rond sur une place publique – une demi-place – où les uns et les autres se regardent et pensent : à leur vie, à la vie des autres. À ce qu’ils ont oublié de faire, de dire ou de montrer les sentiments, les émotions.
Dans tout cela, le lecteur est perdu. Perdu dans ses propres pensées et dans les pensées des personnages. Le lecteur tourne en rond sur lui-même ou sur la demi-place… Je ne sais pas. J’ai été perdu.
C’est un roman qui – je trouve – s’essouffle vite, beaucoup trop vite à cause du style de l’auteure bien particulier, du fait qu’elle oublie souvent la ponctuation – ce qui m’a beaucoup dérangée – car les phrases étaient longues et interminables – si j’ose dire. Quelque points par-ci, par-là. Quelque trois petits points par-ci, par-là. Et voilà, c’est tout…
Un roman dont visiblement, je n’ai pas compris la philosophie. Et ça m’attriste, car je suis certaine que le livre et l’auteure avaient un beau message à faire passer. Un message d’Amour. Qui ne m’était pas destiné… Je crois !
En bref, c’est roman qui se doit d’être lu si on aime les tables rondes et entendre tous les points de vu de la table, si on aime connaître toutes les pensées de toutes ces personnes. Si vous n’aimez pas, cela ne sert à rien de le lire.
Ma note 3/5
PS : Merci à Babelio pour sa masse critique et à la ME « M.E.O » pour l’envoi du livre !