Bonjour,

Ce tout petit livre était perdu dans mon immense PAL, et lorsque je cherchais une lecture pour combler un vide entre un service presse et le salon l’Imagina’livre, je me suis dit qu’il était parfait ! ❤

Lorsque j’ai ouvert ce livre, j’ai souris… c’était vraiment la bonne période pour le lire. La 1ère phrase que l’on lit en ouvrant le roman :

 » De l’enfant lecteur au libre électeur »

Pascal Lemaître (illustrateur)

Tout au long de ce petit livre, on retrouve des auteurs et des illustrateurs qui expliquent, chacun avec leurs mots l’importance de la lecture et pourquoi ils ont décidé d’écrire pour les enfants. Certains nous expliquent leur 1ère rencontre avec le livre et ce qu’elle leur a apporté. D’autres témoignent de leurs rencontres avec des enfants, de jeunes lecteurs. Les derniers partent sur des idées beaucoup plus généralistes.

Fabian Grégoire (illustrateur)

Ce petit livre est riche en émotions, réflexions et espoirs pour la génération à venir !

Jean Delas et Jean-Louis Fabre (les directeurs des éditions de l’école des loisirs) ont décidé de « clôturer » par un poème de Victor Hugo : A qui la faute ? L’année terrible 1872

Pour ma part je finirai mon article sur la présentation du livre et une illustration de Mario Ramos qui est aussi un message de tolérance

4ème de couverture

Pour Brigitte Smadja : Il faut donner des livres aux enfants…pour les délivrer; pour Marie-Aude Murail : ce n’est pas la lecture qui est en danger, ce sont les illétrés ; Pour Yvan Pommaux : Lire est le propre de l’homme, et pour Claude Ponti : Ni vous ni moi ne sommes des phacochères !

Destiné aux professionnels du livre, aux éducateurs, aux enseignants et aux parents, il est évidemment dédié aux enfants !

Ce petit livre date de 2011 mais je peux vous assurer qu’il est toujours d’actualité

Aparté sur les jeunes (ados) et la lecture

Hier lors du café littéraire avec Valérie Simon nous avons abordé ce sujet des enfants qui soit-disant ne lise plus…ce ne serait qu’illusion, ils liraient même beaucoup plus qu’avant et le livre ne serait pas réservé à une élite !

Valérie Simon tient le même discours sur ce sujet que Vincent Villeminot…et je suis plutôt d’accord. Nos jeunes lisent différemment (question de support) mais ils lisent !

Bonne lecture ! ❤