« Lus dans le train » #12 (1 an !)

C’est l’heure du rendez-vous mensuel « Lus dans le train » ! 
Je vous rappelle un peu le concept, qui a été créé par Les Lectures de Mina. :

« Lus dans le train » #12 (1 an !)

« Pour tout ceux et toutes celles qui ont l’habitude de prendre les transports en commun, nous croisons souvent d’autres passagers plongés, eux aussi, dans un roman. Une belle échappatoire pour sortir de notre train-train quotidien. Et je vous avoue, j’ai tendance à jeter un coup d’œil sur la couverture du livre et le titre. Et pour ceux qui retiennent mon attention, je les note sur mon portable. On ne sait jamais: si c’était un futur coup de cœur ? »

« Lus dans le train » #12 (1 an !)Il y’ a un an, j’ai repris le concept de « Lectures de Mina » qui est de noter le titre des livres lus par d’autres passagers du train et du métro.
J’ai vu des mangas, quelques BD, de la SF, du Young Adult, de la romance, même de l’érotisme et beaucoup, beaucoup de thrillers.
Grâce à cette rubrique, je suis devenue une véritable maîtresse de l’esquive et de la discrétion pour dégainer mon portable dès que mon regard croise un roman. Mes longs trajets de train deviennent bien moins ennuyant ! Aujourd’hui, je me remémore un tas d’anecdotes en dégustant une bonne part de gâteau. Mais la quête est loin d’être finie et dès demain, j’y retourne !

« Lus dans le train » #12 (1 an !)

« Lus dans le train » #12 (1 an !)LA MORT EN CONFESSION  de Charles Todd (City Poche, 2014)

« »Il y a dix ans, pendant la Grande Guerre, j’ai assassiné mon cousin… » C’est la déclaration d’un homme qui se présente à Scotland Yard. Une dernière confession pour soulager la conscience d’un homme malade ? Quelques jours plus tard, son corps est retrouvé flottant dans la Tamise. A la recherche de réponses, l’inspecteur Ian Rutledge découvre que le mort n’est pas celui qu’il prétendait être. Quel était son véritable nom ? Ses prétendus « aveux » et son assassinat sont-ils liés ?
Seul indice : un médaillon autour du cou du cadavre qui conduit Rutledge jusqu’à un village de la campagne anglaise. Un village dont les habitants protègent jalousement les secrets de leur passé.
»

  •  En route vers l’Angleterre pour un thriller qui me semble assez tentant. N’oubliez pas votre trench-coat et votre réserve de thé !

« Lus dans le train » #12 (1 an !)

« Lus dans le train » #12 (1 an !)

SON CARNET ROUGE, de Tatiana de Rosnay (Le livre de Poche, 2015)

«« Avant de s’en aller, elle enlève son alliance et la pose délicatement sur le capot de la voiture, sans un mot. » Le fruit est-il plus savoureux lorsqu’il est défendu ? L’interdit est-il synonyme de plaisir ? De la duperie démasquée à la vengeance machiavélique, Tatiana de Rosnay revisite les amours illégitimes et envisage tous les scénarios – tantôt tragiques, tantôt cocasses – avec une légèreté teintée de sarcasme, jusqu’à une chute toujours croustillante, parfois glaçante. Un jouissif « déshabillage » du délit conjugal, où le rire se mêle à la compassion et la transgression au désir.»

  • Je vous avoue n’avoir jamais lu un des romans de cette auteure. A voir s’il peut vous intéresser.

« Lus dans le train » #12 (1 an !)

« Lus dans le train » #12 (1 an !)

L’AMIE PRODIGIEUSE, d’Elena Ferrante (Folio, 2015)

«Naples, fin des années cinquante. Deux amies, Elena et Lila, vivent dans un quartier défavorisé de la ville, leurs familles sont pauvres et, bien qu’elles soient douées pour les études, ce n’est pas la voie qui leur est promise. Lila, la surdouée, abandonne rapidement l’école pour travailler avec son père et son frère dans leur échoppe de cordonnier. Elena, elle, est soutenue par son institutrice, qui pousse ses parents à l’envoyer au collège puis, plus tard, au lycée, comme les enfants des familles aisées. Durant cette période, les deux jeunes filles se transforment physiquement et psychologiquement, s’entraident ou s’en prennent l’une à l’autre. Leurs chemins parfois se croisent et d’autres fois s’écartent, avec pour toile de fond une Naples en ébullition, violente et dure. Des chemins qui les conduiront, non sans ruptures ni souffrances, à l’aube de l’âge adulte. Formidable voyage dans Naples et dans l’Italie du boom économique, L’amie prodigieuse trace le portrait de deux héroïnes inoubliables, qu’Elena Ferrante traque avec passion et tendresse jusqu’au plus profond de leur âme.»

  •  J’ai lu et entendu beaucoup d’avis positif pour ce roman dont l’histoire est racontée sur trois tomes. Il y’a un bon moment que je voulais la lire, mais je l’ai zappé. Je remercie la lectrice que j’ai croisée dans le métro qui me l’a remise en mémoire.

« Lus dans le train » #12 (1 an !)

« Lus dans le train » #12 (1 an !)

UN BON JOUR POUR MOURIR,  d’Emily Brontë (10/18,  2003)

« Cuites, amour et dynamite, un amateur de pêche mélancolique, un ancien du Viêt-Nam et une jeune femme aux jambes interminables traversent l’Amérique des années soixante, unis par une  » mission  » folle et héroïque : faire sauter un barrage du Grand Canyon. Mais l’équipée sauvage de cet improbable trio va bientôt tourner à la gueule de bois carabinée ! «  

  • Un road trip dans l’Amérique des années 60, sur fond de « Sex, Drug and Rock’n Roll ». Un roman qui semble être dans la même veine que « Sur la route » de Jack Kerouac.

« Lus dans le train » #12 (1 an !)

Je ne pensais pas avoir autant de livres contemporains. Comme quoi, cette chasse aux romans semble être toujours pleine de surprise !

J’espère que vous avez trouvé, durant cette première année de « Lus dans le train« , de  bons romans à lire. Pour ma part, ce fut le cas au point de rendre ma pile de livres à lire assez haute… et dangereuse.
D’ailleurs, Chéri la surnomme « Tour de Pise » et Mininous « Jenga » (la tour composée de pièces de bois que l’on doit retirer un par un, sans la faire tomber). Ils ont même parié le nombre de jours avant sa chute. Grrr !!!

Bref ! Merci beaucoup à tous ceux qui suivent cette chronique et je remercie encore sa créatrice qui m’a permis de le reprendre.

Regard aiguisé, portable à la main, je suis prête pour une année de plus !

(Image à la une de Susan Brabeau )