Salutations mes petites carottes en sucre !
Je vous ai laissé complètement tomber cette semaine. Je n'ai pas publié autant que je le devais et la chronique des deux tomes des Culottées est toujours dans les brouillons (les brouillons qui sont dans ma tête, pas ceux qui sont écrits, hélas). La faute à la refonte du blog, je trifouille depuis plusieurs jours dans le code et je prends un pied d'enfer mais dès que je change un truc et que le panneau lumineux "c'est fini !" s'allume, je trouve quelque chose d'autre à modifier. Le truc sans fin, voyez. Pour l'instant, j'arrive à faire tout ce que je voulais, ce qui est très flatteur pour mon ego mais très mauvais pour la taille de mes chevilles. Pourvu que ça dure, comme dirait l'autre.
Si vous notez quelques petites choses cassées ici, des liens qui ne sont plus là, par exemple, c'est normal ! Tout rentrera dans l'ordre bientôt 😆
En attendant, je lâche quelques minutes les signes cabalistiques du CSS pour vous parler de mes lectures passées, peu abondantes d'ailleurs, pour la même excuse qu'au-dessus, dans un petit C'est Lundi rapide.
Comme d'habitude, vous pouvez retrouver l'intégralité des liens sur le blog de Galleane, merci à elle.
Les trois questions du lundi :1. Qu’ai-je lu la semaine passée ?2. Que suis-je en train de lire en ce moment ?3. Que vais-je lire ensuite ?
Ce que j'ai lu la semaine passée
Samantha Bailly ne me déçoit toujours pas avec À durée déterminée, sa suite des Stagiaires. Et je suis agréablement surprise de la facilité qu'elle a à décrire les questionnements et les problèmes de toute une génération. En plus d'être très bien écrit, on s'y reconnait et on ne veut plus quitter les personnages. Je vous en reparle très vite et je retourne trépigner en attendant de lire la suite. Plus je découvre et lis cette autrice, plus je l'aime, voilà, c'est dit.
Petite déception avec Ma fille qui n'apporte pas grand-chose au paysage du thriller, ça se lit, ce n'est pas désagréable mais je m'en souviens déjà à peine, ce qui n'est jamais bon signe.
La nouvelle parution de Delphine Bertholon, Cœur-naufrage, ne m'a pas laissé de glace, même si j'ai tout de même une grande préférence pour ses premiers (Twist, Grace et L'effet Larsen, principalement, jetez-vous dessus !). Elle a vraiment une grande facilité pour décrire les sentiments forts et pour transformer une situation somme toute banale en une fine réflexion sur la société.
En ce moment, je lis ça
Toujours avec la fine équipe des Petits Pédestres, je démarre une nouvelle LC. Pas de Gemmell pour l'instant (mais ça va revenir, patience) mais une très chouette lecture young adult, Caraval. J'en suis à une centaine de pages (merci l'insomnie du dimanche soir) et je dois dire que ça envoie du lourd, à base de poésie et mystère dans ta face innocente.
En fait, ça ressemble à ce que Le cirque des rêves aurait dû être....
En ensuite ?
Voilà, Gemmell n'était pas bien loin, je vous l'avais promis. Et si j'ai un peu peur de la suite maintenant que Druss est parti vers d'autres contrées luxuriantes, je suis bien curieuse de voir ce qu'il va nous pondre, le grand monsieur David.Et ensuite, j'avancerai un peu dans mes lectures Netgalley, histoire de. J'aime bien le titre et la jolie couverture de celui-ci, Les gentilles filles vont au paradis, les autres là où elles veulent, ça a l'air d'être une sympathique petite chick-litt, ce qui tombera à pic après les gros muscles et l'odeur des aisselles des guerriers drenaï/nadir.
Le tricot est un peu tombé à l'eau depuis que je me suis mise au changement du blog (je vous ai déjà dit que j'étais monomaniaque et sérieusement bornée ? Non ? Ben voilà), mais il va falloir que je me bouge les doigts (et les aiguilles haha) si je veux avancer sur le projet en cours (top secret, sorry !). Et en plus, c'est très gratifiant de fabriquer des petites choses avec ses mains, surtout lorsque l'on a longtemps cru que lesdites mains étaient totalement infoutues d'élaborer quoi que ce soit (moi, dès qu'on sort du classique clavier/stylo/papier, je suis une catastrophe)(ne me confiez jamais un couteau par exemple).
Du coup, entre ça et le code, en ce moment, je suis fière comme une girafe en patins à roulettes et flotte à 10 pieds au-dessus du sol. Et il n'est pas rare de m'entendre m'exclamer "bon sang, je suis trop forte" lorsque j'arrive au résultat attendu (attendu mais inespéré, voyez). Ce qui fait glousser le monsieur qui bosse en face de moi. Mon ego surdimensionné fait rire et ça, c'est le plus important.
Assez parlé de moi, Et vous, que lisez-vous aujourd'hui ?Et qu'avez-vous fait avec vos petites mimines ?
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