Bonjour,
La première fois que j’ai vu le titre, je ne sais pas pourquoi mon cerveau a occulté la 2ème partie. Du coup je suis restée sur « Au bonheur des dames » et évidemment ma première pensée a été pour ce cher Zola (le roman en question étant le seul que j’ai réussi à finir ) … Mais le bonheur de ces dames a bien changé , il suffit de regarder les couvertures
Ce n’est pas pour autant qu’il faut s’attendre à de l’érotisme…en tout cas dans les 2 1er épisodes – bien qu’il y ai quelques prémices dans « Une fille en or »
4ème de couverture
Après un mariage de cauchemar, Louise s’est retrouvée sur la paille. Mais elle n’est pas à court de solutions, ça non ! Elle a même une idée fumante. Il ne lui reste plus qu’à persuader son oncle de la financer. Ça tombe bien, ce vieux polisson n’est pas du genre coincé.
Pourtant, le pauvre oncle Julien va vraiment tomber des nues…
Mon avis
Dans cet épisode, Elen Brig Koridwen nous présente les hommes (un en particulier ) avec beaucoup d’humour.
On découvre donc les prémices de l’idée de Louise, ainsi que les méthodes de « manipulations » qu’elle utilise pour obtenir ce qu’elle souhaite (elle les connaît bien les hommes ).
Ah les hommes, avec un minimum de jugeote et/ou un corps de rêve…on en fait ce qu’on en veut. !
Mon avis
On continue de voir le projet de Louise se monter… l’oncle Julien a accepté de le financer. C’est le moment de trouver les locaux. Le plus de cet épisode ? Des échanges directs et léger entre l’auteur et ses lecteurs sous forme d’à parté. J’aime bien le dynamisme que cela donne à l’épisode
Les personnages sont très bien présentés en très peu de pages. L’écriture est fluide et très agréable. Le style est léger, et plein d’humour.
En écrivant ma chronique un mot me vient à l’esprit pour définir autant les épisodes que les personnages ….truculent !
Conclusion
La série « Au bonheur des dames, experts en délices » est à savourer un café gourmand(là) Mais si vous êtes plutôt apéro et que vous voulez découvrir la plume de Elen Brig Koridwen, vous pouvez aussi déguster ses apéribooks (ici)
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