Quand on lui attribue à tort une nouvelle victime, Achille, le tueur en série que la presse a baptisé L'Artiste, qu'une personne connaissant son modus operandi l'imite.
Les rôles s'inversent et il décide de mené l'enquête.
On trompe comme on tue : en se grimant et en semant les bribes d'une vie imaginaire que la proie de suspectera pas.
Mais qui est la proie ?
L'auteur détaille à merveille la personnalité d'Achille, parfois je me suis dis "ça part dans tout les sens, c'est brouillon, il y a beaucoup de répétition"... mais une fois le roman terminé et quelques jours de réflexion pour bien sortir de ce roman, je me suis rendue compte que c'était exactement ce qu'il fallait pour montrer la folie mentale de ce tueur à la personnalité atypique. Un roman à la première personne, peu de dialogue... une sorte de lettre qu'il nous écrit. Je me suis sentie plus d'une fois mal à l'aise face à ce tueur qui s'adresse directement à moi, qui me pose des questions et me demande mon avis. Dans la folie de L'artiste, je me suis prise au jeu de l'enquête et de la chasse de cet imitateur et quand on apprend qui est cette personne, je suis restée bête de ne pas y avoir pensé tellement c'est évident, je m'y attendais vraiment pas. L'auteur aussi m'a manipulé. Un personnage flippant, persuadé d'avoir des "bonnes manières", un maniaque du détails, de la perfection. L'auteur utilise beaucoup les prénoms de la mythologie ce qui met un point fort aux caractères des personnages auxquels il veut donner vie.
Les rôles s'inversent et il décide de mené l'enquête.
On trompe comme on tue : en se grimant et en semant les bribes d'une vie imaginaire que la proie de suspectera pas.
Mais qui est la proie ?
Un thriller hors normes, voici le nouveau roman de Luca Tahtieazym. Les rôles sont inversés, nous voici dans l'intimé du tueur, dans la tête du tueur. Nous sommes de l'autre côté de la scène.
L'auteur détaille à merveille la personnalité d'Achille, parfois je me suis dis "ça part dans tout les sens, c'est brouillon, il y a beaucoup de répétition"... mais une fois le roman terminé et quelques jours de réflexion pour bien sortir de ce roman, je me suis rendue compte que c'était exactement ce qu'il fallait pour montrer la folie mentale de ce tueur à la personnalité atypique. Un roman à la première personne, peu de dialogue... une sorte de lettre qu'il nous écrit. Je me suis sentie plus d'une fois mal à l'aise face à ce tueur qui s'adresse directement à moi, qui me pose des questions et me demande mon avis. Dans la folie de L'artiste, je me suis prise au jeu de l'enquête et de la chasse de cet imitateur et quand on apprend qui est cette personne, je suis restée bête de ne pas y avoir pensé tellement c'est évident, je m'y attendais vraiment pas. L'auteur aussi m'a manipulé. Un personnage flippant, persuadé d'avoir des "bonnes manières", un maniaque du détails, de la perfection. L'auteur utilise beaucoup les prénoms de la mythologie ce qui met un point fort aux caractères des personnages auxquels il veut donner vie.