Anne Fine à Bruxelles pour le prix Farniente

Anne Fine à Bruxelles pour le prix Farniente

Anne Fine, à Bruxelles le 6 mai pour le prix Farniente. 

Anne Fine à Bruxelles pour le prix FarnienteLa vie est quand même bien faite. C'est par Anne Fine elle-même, excellente auteure britannique de romans pour enfants et adolescents, que j'apprends qu'elle se déplace à Bruxelles. A l'occasion du prix Farniente, me glisse-t-elle. Le prix Farniente qui existe depuis 2000 et n'a pas l'air de se rappeler de mon existence.
Tant pis. Dommage. Faute d'informations pratiques, j'ai raté Anne Fine et les autres auteurs venus à Bruxelles, Séverine Vidal, Eric Pessan, Matthieu Robin, Caroline Solé, pour assister à la remise des prix et aussi débattre et discuter avec les ados. Voici donc les résultats de l'édition 2017 du prix dont la remise officielle a donc eu lieu ce samedi 6 mai à Bruxelles.
Ci-après le palmarès, complété par mes soins du nom des traducteurs des livres nés en d'autres langues que le français.
Les lauréats 2017
Anne Fine à Bruxelles pour le prix Farnienteen catégorie basket jaune (plus de 13 ans): "On est tous faits de molécules" de Susin Nielsen (traduit de l'anglais (Canada) par Valérie Le Plouhinec, Hélium, 2015).
Finalistes: "Quelqu'un qu'on aime" de Séverine Vidal (Sarbacane, 2015), "Aussi loin que possible" d'Eric Pessan (l'école des loisirs, 2015), "Tornade" de Jennifer Brown (traduit de l'anglais par Céline Alexandre, Albin Michel Jeunesse, Wiz) et "Ses griffes et ses crocs" de Mathieu Robin (Actes Sud Junior, 2015).
Anne Fine à Bruxelles pour le prix Farnienteen catégorie basket verte (plus de 15 ans): "Blood family", d'Anne Fine (traduit de l'anglais (Royaume-Uni) par Dominique Kugler, l'école des loisirs, 2015). A lire ici, ce que j'avais écrit à l'époque de la sortie de ce formidable roman.
Finalistes: "Nous les menteurs" d'E. Lockhart (traduit de l'anglais (Etats-Unis)  par Nathalie Peronny, Gallimard Jeunesse, 2015), "Dysfonctionnelle" d'Axl Cendres (Sarbacane, 2015), "Nous voulons tous le paradis" d'Els Beerten (traduit du néerlandais (Belgique) par Maurice Lomré, La joie de lire, 2015) et "La pyramide des besoins humains" de Caroline Solé (l'école des loisirs, 2015).