On les croyait disparus à jamais, chassés de nos contrées par la modernité.
Erreur ! On peut bien avoir construit des villes à la campagne,
les lutins se sont faits urbains !
Et ils n’ont rien perdu de leurs pouvoirs d’agaceries, tracasseries,
et espiègleries…
On a volé le jouet préféré du pacha-héritier ! C’est en visite dans la Grosse Cité que le jeune prince du Pépettochistan a été dévalisé. Du coup, son père menace de déclencher la 3e Guerre mondiale si le responsable n’est pas retrouvé…
Voilà un travail pour Gustave Flicman. Car selon les autorités, aucun doute : encore un coup des Lutins Urbains ! De retour à l’Université d’Onirie, c’est pourtant un tout autre voleur que notre héros découvre…
L’étrange coupable et son complice, Le Troll, ne tardent pas à quitter la ville. En voiture Simone ! Gustave décide de suivre le duo. Il ne sait pas que l’attend le plus fou, le plus périlleux des voyages qu’il n’ait jamais imaginé…
Avis
Quatrième tome des aventures de ces lutins assez farceurs et un jeune policier du nom de Gustave Flicman devenu depuis la dernière aventure un agent Sécurisation et Bien-Etre du Président.
Dans cette nouvelle histoire farfelue il est question d'un drôle de yéti, un Groumf habillé d'une culotte en peau et armé de massue le faisant étrangement ressemblé à un homme préhistorique; et accompagné d'un lutin. Ce Groumf est un drôle de voleur puisque ses larcins s'orientent principalement vers les doudous, il chaparde tous les doudous qu'il voit et l'aventure commence lorsque qu'il "emprunte" celui du fils du Pacha.
Gustave aura pour mission de récupérer le doudou et d'affronter une fois de plus la folie de ces créatures imaginaires.
Dans ce quatrième tome nous retrouvons l'univers des lutins et l'atmosphère créée par l'auteur autour d'êtres imaginaires et terriblement blagueurs. Les personnages principaux rencontrés depuis la première aventure sont toujours présents apportant une continuité agréable et permettant de s'accrocher encore plus à l'histoire, l'humour est toujours là et les scènes absurdes se succèdent. J'ai eu plaisir à retrouver les jeux de mots de l'auteur notamment avec les noms de marque détournés, quant à l'histoire et bien c'est comme d'habitude une course folle pour épargner la ville de l'espièglerie de ces plaisantins.
Il me tarde de savoir quelle calamité attend Gustave dans la prochaine aventure.