396 pages
Après la lecture de « Passion brûlante », le premier de la saga Clash, je savais que je ne pourrais pas résister à « Passion coupable ». En particulier quand le rôle-titre du héros est tenu par un avocat plus que sexy.
Quand, j’ai vu qu’il était proposé en service presse sur Netgalley, je n’ai pas attendu deux secondes avant d’en faire la demande, sachant pertinemment que je n’allais pas résister à son achat. Le service presse m’a permis d’attendre plus patiemment sa livraison.
Je remercie les éditions Harlequin et le site NetGalley France pour l’envoi de ce service presse numérique.
Une fille à papa, sans diplômes, sans travail, menteuse et petite délinquante. Avett n’a aucune illusion sur l’image que se fait d’elle son avocat bien sous tous rapports. Quaid Jackson, rasé de près, costume à deux mille dollars, sex-appeal à damner une sainte – ce qu’elle est très loin d’être –, est sans doute le seul à pouvoir lui épargner la prison aujourd’hui. Alors qu’elle s’est juré de revenir sur le droit chemin, coucher avec l’homme qui tient son avenir entre ses mains serait sans doute la plus mauvaise décision possible… Mais n’est-ce pas sa spécialité ? Si elle en est là aujourd’hui, c’est parce qu’elle a toujours été incapable de faire le bon choix…
Si vous me suivez sur Twitter, vous avez peut-être vu passer un tweet parlant de ma propension à toujours tomber sous le charme ravageur des avocats/juristes de mes lectures. Pourtant les avocats que je côtoie au quotidien sont loin d’être sexy… Quaid Jackson n’a pas fait exception à la règle ! D’ailleurs, si vous avez son adresse – même du chalet en montagne – donnez-la-moi, je suis preneuse de ce genre de spécimen.
Avett que nous avons rapidement croisé sur les marches du palais de justice dans le premier tome se retrouve en détention. Abonnée aux mauvaises décisions, elle a le don inné de toujours, mais vraiment toujours se mettre dans la mouise – plus charmant que l’autre mot commençant par m... Accusée à tort de complicité de vol aggravé, elle rencontre Quaid, un avocat de la défense qu’elle n’a pas choisi. Leurs divergences sont profondes, l’entente pas toujours au beau fixe, mais Quaid est le meilleur dans sa partie, sans oublier super sexy.
Ma relation avec Avett est très mal partie. Avett est présentée comme une fille à papa, mais c’est tout le contraire. Elle aime plus que tout son père et la réciproque est vraie, il lui pardonnant même l’irréparable, mais ce n’est pas une jeune femme capricieuse. Avett est juste une héroïne paumée qui n’a pas trouvé de but à sa vie à part l’autodestruction, sujet qu’elle maîtrise jusqu’au bout des ongles. En conséquence, j’avais juste envie de secouer Avett comme un prunier pour voir si enfin elle allait comprendre la leçon. Heureusement, son personnage se bonifie avec le temps.
Quaid Jackson est un avocat à qui tout réussi. En tout cas, il n’a aucun problème professionnel. Côté personnel, la situation est plus délicate ce qui le rend 100 fois plus attachant. Je vais bientôt pouvoir faire un classement des avocats les plus torrides!
C’est avec plaisir que je me suis une nouvelle fois plongée dans l’univers de Jay Crownover. Nous sommes peut-être loin du salon de tatouage, mais ils sont toujours aussi symboliques. Même avec le mode tortue enclenché – en ce moment, je trouve le moyen de m’endormir au bout de 10 pages peu importe l’heure à laquelle je commence à lire – je n’ai fait qu’une bouchée de l’histoire de Quaid et Avett. De plus, le sentiment de danger qui plane tout au long du roman sur le personnage d’Avett donne du punch et du rythme à l’intrigue.
Légèrement en dessous du premier tome, « Passion coupable » n’en reste pas moins une lecture addictive.