Lus dans le train #14

C’est l’heure du rendez-vous mensuel « Lus dans le train » ! 
Je vous rappelle un peu le concept, qui a été créé par Les Lectures de Mina. :

Lus dans le train #14

« Pour tout ceux et toutes celles qui ont l’habitude de prendre les transports en commun, nous croisons souvent d’autres passagers plongés, eux aussi, dans un roman. Une belle échappatoire pour sortir de notre train-train quotidien. Et je vous avoue, j’ai tendance à jeter un coup d’œil sur la couverture du livre et le titre. Et pour ceux qui retiennent mon attention, je les note sur mon portable.
On ne sait jamais: si c’était un futur coup de cœur ? »

Lus dans le train #14

Je suis en retard ! Je suis en retard!

Honte à moi ! Je suis en retard pour la publication du nouveau numéro de « Lus dans le train ».  Non que la chasse aux titres fut mauvaise, au contraire, mais j’avoue que je suis plus souvent dehors que chez moi depuis l’arrivée du beau temps.  Vous allez donc vous retrouvez avec deux numéros ce mois-ci ! Celui d’aujourd’hui et le prochain, prévu pour la fin du mois. Bref ! Passons aux choses sérieuses !

Lus dans le train #14

Lus dans le train #14ADÈLE BLANC-SEC, le secret de la salamandre (tome 5)  de Tardi (Casterman, 2007)

«Dans cet album, nous suivons les tribulations de Lucien Brindavoine, chargé par la momie d’Adèle Blanc-Sec de réveiller cette dernière alors cryogénisée. Mais cette mission se révèle loin d’être simple pour Lucien : entre la guerre qui fait rage, l’alcoolisme qui l’affaiblit, le Professeur Dieuleveult qui cherche par tous les moyens à tuer Adèle, la mafia, Lucien rencontrera bien des obstacles. Pourra-t-il remplir sa mission ? . »

  •  Je connais la B.D d’Adèle Blanc-Sec que de nom et par des amis. Je me suis toujours dit qu’un jour, il faudrait que j’y jette un coup d’œil. Anecdote amusante, on a croisé ce titre en sortant de « Gilbert Jeune » avec Mininous. Il appartenait à un jeune homme assis juste en face de nous dans le métro et que j’avais croisé dans la boutique. Bien sûr, mon fils a fait honneur à sa discrétion légendaire:
    *a haute voix*: Maman, regarde. Note pour ton blog.
    Ce n’est pas faute de lui avoir dit d’être plus discret :D.

Lus dans le train #14

Lus dans le train #14

CHRONIQUE DE L’OISEAU A RESSORT, d’Haruki Murakami (Points, 2004)

«Un chat égaré, une inconnue jouant de ses charmes au téléphone, des événements anodins suffisent à faire basculer la vie d’un jeune chômeur, Toru Okada, dans un tourbillon d’aventures. L’espace limité de son quotidien devient le théâtre d’une quête sans cesse renouvelée où rêves, réminiscences et réalités se confondent. Aucune frontière, physique ou symbolique, ne résiste à l’effervescence des questionnements qui s’enchaînent au rythme de rencontres déroutantes, chacune porteuse d’un secret, d’une fragilité propre. Haruki Murakami (La Course au mouton sauvage, La Ballade de l’impossible) tente de nous donner à voir la part d’ombre des choses et des êtres. Replaçant la méditation bouddhique dans la violence contemporaine du japon ou d’ailleurs, il se propose d’explorer nos ténèbres intérieures. Sans se départir d’un humour où perce la détresse, il emmène le lecteur dans un monde fantastique où, toujours plus fuyante, la réalité n’en devient que plus envoûtante.»

  • Le premier roman que j’ai lu de cet auteur, fut « Saules aveugles, femme endormie » qui regroupe plusieurs histoires courtes. J’avais eu un véritable coup de cœur pour sa plume. A découvrir si ce n’est pas encore fait.

Lus dans le train #14

Lus dans le train #14

FRAGILES, de Sarah Morant  (Hachette, 2017)

«Gabriel a toujours été le bad boy du lycée : celui qui frappe avant de parler,
qui fait craquer toutes les filles mais ne s’attache jamais. Brittany incarne
la peste par excellence, à la répartie vicieuse, et au joli minois qui ne laisse
aucun garçon indifférent. Pourtant, derrière leurs apparences montées de
toutes pièces, tous deux cachent de profondes blessures qui les éloignent
des autres. Dans cette course pour cacher leurs cicatrices, Gabriel et
Brittany se cherchent mutuellement… Se trouveront-ils ? »

  • Le matin, je croise les collégiens qui prennent le train pour aller en cours. Ce jour-là, ce fut une jeune lectrice. Bon, je avoue qu’au vu du résumé, ce n’est pas du tout pour moi, étant de tout façon pas la cible visée. A voir s’il peut vous intéresser.

Lus dans le train #14

Lus dans le train #14

UN APPARTEMENT DE PARIS,  de Guillaume Musso (XO éditions,  2017)

« Paris, un atelier d’artiste caché au fond d’une allée verdoyante.
Madeline l’a loué pour s’y reposer et s’isoler.
À la suite d’une méprise, cette jeune flic londonienne y voit débarquer Gaspard, un écrivain misanthrope venu des États-Unis pour écrire dans la solitude. Ces deux écorchés vifs sont contraints de cohabiter quelques jours.

L’atelier a appartenu au célèbre peintre Sean Lorenz et respire encore sa passion des couleurs et de la lumière. Terrassé par l’assassinat de son petit garçon, Lorenz est mort un an auparavant, laissant derrière lui trois tableaux, aujourd’hui disparus. Fascinés par son génie, intrigués par son destin funeste, Madeline et Gaspard décident d’unir leurs forces afin de retrouver ces toiles réputées extraordinaires.

Mais, pour percer le véritable secret de Sean Lorenz, ils vont devoir affronter leurs propres démons dans une enquête tragique qui les changera à jamais. » 

  • Pendant quelques temps, je n’avais plus croisé de Musso dans les transports. Et franchement, cela faisait du bien ! Il y’avait plus de choix dans ma chasse aux titres. Et puis, il y’a quelques jours… Bing ! Qui est de retour ? Bref ! Je vous avoue que je ne suis guère tentée de le lire pour l’instant.

Lus dans le train #14

Voici enfin le numéro du mois de mai publié !  J’espère que ces petits trouvailles dans le transport en commun vous plaise toujours autant. Pour ma part, je m’amuse toujours autant à observer les différents lecteurs que je croise. Je vous dis, à dans deux semaines, pour le numéro du mois de juin. A bientôt !

(Image d’intro de Neko-Rina – Image à la une tiré de 1100illustrations )