Le petit rêve___________________________De Tan DaDecrescendo éditeurs - 140 pages - 15€
Le roman Le Petit Rêve, daté de 1916, a été publié la première fois en 1917. Il sera suivi d’un deuxième Petit Rêve publié en 1932. L’édition utilisée ici est celle de 1941 qui regroupe les deux parties du Petit Rêve. Le premier Petit Rêve est un voyage imaginaire autour du monde. Ces pérégrinations poétiques relèvent clairement d’une « utopie », un pays où le progrès technique est entièrement au service de toute la population qui ne connaît ni la propriété privée ni la monnaie. Le deuxième Petit Rêve, plus proche des légendes merveilleuses contant les histoires d’immortels, fait constamment un va-et-vient entre le monde d’en haut et le monde d’en bas, le rêve et la réalité, l’ordre céleste et l’ordre humain. Ayant espéré obtenir des conseils des grands sages de tous les temps, depuis Confucius jusqu’à Jean-Jacques Rousseau en passant par l’illustre lettré vietnamien Nguyen Trai, l’auteur-rêveur se rend compte que c’est lui seul qui a le pouvoir de transformer le rêve en réalité, de bâtir un monde meilleur.
Poussée par ma curiosité, j'ai participé à la masse critique de Babelio et j'ai eu la chance de pouvoir découvrir ce roman, qui m'a attiré par son aspect voyage et spiritualité.Il s'agissait alors de ma première lecture Vietnamienne, et je ne m'attendais pas à ce que j'ai pu lire.
Ce livre est découpé en deux parties, la première, "Le petit rêve" et la deuxième "Le petit rêve 2", les deux étant liées.Le premier petit rêve est en réalité un voyage imaginaire autour du monde qui se révèle parfois poétique, philosophique ou encore moralisateur, dans le sens ou ce voyage nous montre une version utopique du monde.Alors que le sujet m'intéressait beaucoup, je n'ai malheureusement pas apprécié le style de ce roman, peut être dû à la traduction, mais cela m'a empêché de m'imprégner de l'histoire. Je n'accrochait pas et n'arrivait pas non plus à me concentrer sur ce que je lisais, j'ai donc mis beaucoup de temps à lire ce livre qui n'est pourtant pas bien épais.
Il y a néanmoins des passages qui m'ont plus plu que d'autre, notamment lors des réflexions philosophiques.Je n'imaginais pas le voyage de cette manière, je l'ai trouvé très survolé la majorité du temps, certaines étapes étaient approfondies alors que d'autres pas du tout.En effet nous suivons le voyage d'un homme originaire du pays d'Annam qui part tout d'abord en France pour avoir du travail, avant d'entamer un long voyage, des chutes du Niagara au Transsibérien. Nous faisons face à une multitude de changements de décors qui m'ont finalement donné l'impression d'être perdue dans cet enchaînement et de ne pas savoir ou l'auteur nous menait.Par exemple, si certains pays sont survolé et juste évoqué lorsque l'auteur retrace l'itinéraire du voyage imaginaire, d'autres sont approfondis dans le détail, un peu trop justement à mon goût, comme la Chine par exemple, pour laquelle l'auteur remonte l'histoire et nous parle de différentes grandes familles, dynasty, or il s'agissait d'histoire très ancienne, je n'y connaissais donc absolument rien et me suis très rapidement perdue parmi les innombrables noms pour au final ne pas vraiment comprendre l'intérêt de ces passages, qui racontent sans vraiment expliquer et vous laissent donc perplexe, c'est en tout cas mon ressenti.
De plus je n'ai pas vraiment compris le but et le pourquoi du comment de ce deuxième petit rêve, j'ai eu comme une impression d'inachevé ou que au contraire, j'avais raté le début et n'avais pas toutes les cartes en main pour comprendre les événements.
Je suis persuadée de ne pas avoir saisi ce qu'il fallait de ce roman et d'être passé à côté de quelque chose.
N'ayant pas trouvé le style d'écriture fluide, il y a de longs passages qui ne m'ont pas touché ou auxquels je n'ai pas prêté l'attention qu'ils méritaient, ce qui fait que ce livre ne m'a malheureusement pas transporté comme je pensai qu'il le ferai.
Je ne regrette néanmoins pas d'avoir tenter l'expérience.
Le roman Le Petit Rêve, daté de 1916, a été publié la première fois en 1917. Il sera suivi d’un deuxième Petit Rêve publié en 1932. L’édition utilisée ici est celle de 1941 qui regroupe les deux parties du Petit Rêve. Le premier Petit Rêve est un voyage imaginaire autour du monde. Ces pérégrinations poétiques relèvent clairement d’une « utopie », un pays où le progrès technique est entièrement au service de toute la population qui ne connaît ni la propriété privée ni la monnaie. Le deuxième Petit Rêve, plus proche des légendes merveilleuses contant les histoires d’immortels, fait constamment un va-et-vient entre le monde d’en haut et le monde d’en bas, le rêve et la réalité, l’ordre céleste et l’ordre humain. Ayant espéré obtenir des conseils des grands sages de tous les temps, depuis Confucius jusqu’à Jean-Jacques Rousseau en passant par l’illustre lettré vietnamien Nguyen Trai, l’auteur-rêveur se rend compte que c’est lui seul qui a le pouvoir de transformer le rêve en réalité, de bâtir un monde meilleur.
Poussée par ma curiosité, j'ai participé à la masse critique de Babelio et j'ai eu la chance de pouvoir découvrir ce roman, qui m'a attiré par son aspect voyage et spiritualité.Il s'agissait alors de ma première lecture Vietnamienne, et je ne m'attendais pas à ce que j'ai pu lire.
Ce livre est découpé en deux parties, la première, "Le petit rêve" et la deuxième "Le petit rêve 2", les deux étant liées.Le premier petit rêve est en réalité un voyage imaginaire autour du monde qui se révèle parfois poétique, philosophique ou encore moralisateur, dans le sens ou ce voyage nous montre une version utopique du monde.Alors que le sujet m'intéressait beaucoup, je n'ai malheureusement pas apprécié le style de ce roman, peut être dû à la traduction, mais cela m'a empêché de m'imprégner de l'histoire. Je n'accrochait pas et n'arrivait pas non plus à me concentrer sur ce que je lisais, j'ai donc mis beaucoup de temps à lire ce livre qui n'est pourtant pas bien épais.
Il y a néanmoins des passages qui m'ont plus plu que d'autre, notamment lors des réflexions philosophiques.Je n'imaginais pas le voyage de cette manière, je l'ai trouvé très survolé la majorité du temps, certaines étapes étaient approfondies alors que d'autres pas du tout.En effet nous suivons le voyage d'un homme originaire du pays d'Annam qui part tout d'abord en France pour avoir du travail, avant d'entamer un long voyage, des chutes du Niagara au Transsibérien. Nous faisons face à une multitude de changements de décors qui m'ont finalement donné l'impression d'être perdue dans cet enchaînement et de ne pas savoir ou l'auteur nous menait.Par exemple, si certains pays sont survolé et juste évoqué lorsque l'auteur retrace l'itinéraire du voyage imaginaire, d'autres sont approfondis dans le détail, un peu trop justement à mon goût, comme la Chine par exemple, pour laquelle l'auteur remonte l'histoire et nous parle de différentes grandes familles, dynasty, or il s'agissait d'histoire très ancienne, je n'y connaissais donc absolument rien et me suis très rapidement perdue parmi les innombrables noms pour au final ne pas vraiment comprendre l'intérêt de ces passages, qui racontent sans vraiment expliquer et vous laissent donc perplexe, c'est en tout cas mon ressenti.
Cependant, un homme ne peut pas acquérir de véritables connaissances s'il ne voit pas les choses de ses propres yeux et ne les entend pas de ses propres oreilles. Il ne peut pas progresser dans ses recherches si ses connaissances ne peuvent que se périmer, car connues uniquement de lui-même.Le deuxième petit rêve, quant à lui, était véritablement étrange. Notre protagoniste se retrouve au "Ciel", monde d'en haut, ou vivent les immortels. Il va rencontrer de grands philosophes, et ici encore, alors que je m'attendais à des discussions philosophiques intéressantes, je n'y ai pas trouvé ce que je cherchais.
De plus je n'ai pas vraiment compris le but et le pourquoi du comment de ce deuxième petit rêve, j'ai eu comme une impression d'inachevé ou que au contraire, j'avais raté le début et n'avais pas toutes les cartes en main pour comprendre les événements.
Je suis persuadée de ne pas avoir saisi ce qu'il fallait de ce roman et d'être passé à côté de quelque chose.
N'ayant pas trouvé le style d'écriture fluide, il y a de longs passages qui ne m'ont pas touché ou auxquels je n'ai pas prêté l'attention qu'ils méritaient, ce qui fait que ce livre ne m'a malheureusement pas transporté comme je pensai qu'il le ferai.
Je ne regrette néanmoins pas d'avoir tenter l'expérience.