Titre VF : The Siren
Titre VO : La sirène
Auteur : Kiera Cass
Traducteur : Madeleine Nasalik
Genre : Fantastique
Maison d’édition : Robert Laffont
Date de parution : 22/09/2016
Nombre de page : 347
Nombre de tome : /
Prix : 17.90 €
Ω
Kahlen est une Sirène, vouée à servir son maître l’Océan en poussant les humains à la noyade. Pour cela, elle possède une voix fatale à qui a le malheur de l’entendre. Akinli, lui, est un beau et gentil jeune homme, qui incarne tout ce dont Kahlen a toujours rêvé. Tomber amoureux a beau leur faire courir un grave danger à tous les deux, Kahlen ne parvient pas à garder ses distances. Est-elle prête à tout risquer pour écouter son cœur ?
La sirène est un roman qui est très agréable à lire, l’écriture fluide permet au lecteur de glisser entre les lignes. φ Naturellement, j’ai commencé les livres de Kiera Cass avec « La sélection », que j’avais dévoré et adoré ! Je me suis donc lancer dans la lecture de « La sirène » que je trouvais plutôt prometteur. Il faut dire que revisiter le mythe des sirènes n’est pas commun. φ On retrouve Kahlen, personnage principal qui est une sirène, elle a été recruté et voue sa vie à l’Océan pendant 80 ans ( les sirènes ici sont immortelles) , considéré comme personne. Ici, les sirènes n’ont pas de queue de poisson comme dans les mythes que l’on peut connaître. C’est plutôt agréable, de lire autre chose que ce que l’on connaît déjà. Mais leur voix est mortelle, elle sert d’arme destinée à « nourrir » l’Océan. Oui oui, c’est assez glauque quand on y pense, car l’Océan se nourrir d’humains que les sirènes attirent à la mort. Donc, elles doivent faire semblant d’être muette, au risque de tuer les humains. Je ne vous en dis pas plus parce que bien sûr il y a d’autre chose à découvrir. φ Je suis un peu mitigée face à cette lecture, j’ai apprécié ma lecture mais je n’arrive toujours pas à me faire un avis arrêté même après plusieurs jours de réflexion. Mais voilà, je ne peux pas dire que j’ai autant aimé que « La sélection ».
A la fois mère de substitution, chaperon et employeur… la relation qui nous lie à l’Océan est très complexe.