Bonjour,
Merci à Véronique Avart pour ce service presse qui fut un agréable moment de lecture. Merci aussi pour nos échanges dont je vous partagerai quelques extraits afin d’expliquer certains de mes commentaires
4ème de couverture
Afin d’échapper à son quotidien, Caroline rêvait de vampires, d’où son surnom « Draculine ». Elle voulait vivre la vie, la vraie, quitter son village où une existence morne et pieuse l’étouffait.
Elle trouva un emploi par recommandation dans une grande ville. Mais sur le chemin de l’église, proie facile et ingénue, elle tomba dans les filets de Patrice, un petit voyou. Après la mort suspecte d’un de ses amis s’enchaîna une suite d’évènements la mêlant à la police et au grand banditisme.
Et puis elle rencontra Dimitri, un homme aussi étrange que bien sous tous rapports mais qui semblait cacher un secret. Pourquoi s’intéressait-il à elle ? Était-ce encore le fruit de son imagination ou était-ce un vampire doté de pouvoirs surprenants ?
Et quelle est cette clef dont elle rêvait constamment ?
Découvrez ce polar enrobé de mystères où les fantasmes de l’héroïne se mêlent aux réels
Mon avis
Voilà un résumé qui, pour ma part, me donne envie. A la base j’aime bien les histoires de vampires, mais pas le côté midinette, j’apprécie ces êtres version 19° siècle (beaux, racés, et surtout buveur de sang ). Je me demandais donc si Dimitri, que l’on suppose être l’un d’entre eux était un vampire comme je les aime. Ma lecture finie, je n’ai pas vraiment ma réponse. Pourtant,j’avoue avoir une « affection » particulière pour lui et son valet … Il faut dire que l’auteure a une manière bien à elle de concevoir les vampires, ils sont le Mystère incarné (oui, oui avec un grand M ).
Passons à Caroline, qui est quand même l’héroïne principale de ce roman . Malgré une envie de la « baffer » par moment, elle est attachante … d’une éducation stricte, elle a la manie de faire les mauvais choix. Heureusement qu’elle a des amis fidèles
Malgré quelques lourdeurs dans les phrases, comme« L’après midi me sembla interminable, les heures passèrent à une lenteur incontestable (personnellement je trouve ça répétitif )
« Les phrases avec répétitions je le fais toujours, je ne sais pas si c’est un tic à force d’être avec des étrangers et toujours obligée de redire la même chose avec d’autres mots pour être certaine que celui en face à bien compris. »
Ainsi qu’ une utilisation du vocabulaire parfois inappropriée (enfin j’ai peut-être des idées arrêtées – là je me rends compte que malgré l’utilisation de la liseuse Dory est passée et je ne les ai pas relevé:D )
« Le vocabulaire doit être la même problématique du mélange des langues. »
Petite précision supplémentaire, l’auteure est polyglotte et vit en Argentine
La lecture de ce roman est très agréable, et les personnages nous permettent une immersion dans l’histoire
Conclusion
Malgré quelques faiblesses, le lecteur peut entrer facilement dans l’histoire et la lecture est agréable. Un premier roman dont le fond est vraiment bien mais qui mériterait un allègement au niveau de la forme.
Pour découvrir la réponse au Mystère de la clef, c’est par ici
Bonne lecture ❤