Le mois de juillet est maintenant derrière, un mois reposant et épique passé loin de mon blogue. Les lectures se sont accumulées et les billets à rédiger s'empilent.
J'ai lu, ce mois-ci, quatre romans et deux recueils de nouvelles. J'ai dévoré à Nantes, sous la couette d'Electra, Pour celle qui est assise dans le noir à m'attendre, le dernier roman d'Antonio Lobo Antunes, mon auteur portugais chouchou. Je bûche sur la rédaction de mon billet, espérant trouver les mots justes pour que vous compreniez les raisons pour lesquelles j'apprécie tant son oeuvre. Sous la couette d'une mezzanine parisienne, j'ai commencé à lire Le gang des rêves, roman encensé sur les blogues et sur Instagram (billet en cours de rédaction). Je l'ai terminé sur une plage à Paros, et j'ai enfilé Le camp des morts, heureuse de retrouver pour une deuxième fois Walt Longmire et ses acolytes. Du bonbon! Parmi les tranches de livres étalées dans ma valise, celle qui m'a le plus fait de l'oeil est celle du recueil de nouvelles de Mariana Enriquez. J'ai dévoré Ce que nous avons perdu dans le feu entre stupéfaction et malaise. Une lecture marquante dont je vous reparlerai bientôt. Enfin, j'ai lu la dernière parution de La belle colère, Nous, les déviants de C. J. Skuse. Époustouflant, rien de moins. Au retour, je me suis plongée dans le recueil de nouvelles de Michael Christie, Le jardin du mendiant. J'ai lu «Rebut», une de ses nouvelles, dans le recueil 20 + 1 short stories et j'avais aussitôt noté le nom de l'auteur, comptant poursuivre ma lecture de l'oeuvre du Canadien. Electra doit aussi le lire. On en reparlera...